evelinoz
02.06.2022 11:09:32
- #1
où je vis, il n’y a pas de retraite d’État sous la forme habituelle en Allemagne. L’employeur verse 10 % dans un fonds de superannuation, on peut aussi y contribuer soi-même. La valeur dépend du marché boursier, mais ce n’est pas un gros problème. Supposons que les contributions ne suffisent pas au minimum, c’est le contribuable qui paie la différence. Il y a des petits commerçants qui ne cotisent pas eux-mêmes à la superannuation, ils vivent alors de cette « retraite d’État ». Cela fonctionne si l’on n’a pas de loyer à payer.
Pour nous personnellement, la maison individuelle est la provision pour la retraite, au cas où nous devrions aller en maison de retraite, ce qui est cher ici. Nous n’avons pas de membres de la famille en AUS.
Je vis actuellement dans le secteur privé en Angleterre la situation que l’on trouve souvent aussi chez nous en AUS. Des retraités de 65 à 80 ans et plus, surtout des femmes âgées, vendent leurs biens immobiliers, 400-600 m2 de surface habitable sur un grand terrain, parce qu’ils manquent de revenus mensuels nécessaires. Dans ces maisons, rien n’a été renouvelé ni réparé depuis des années, faute de moyens. Et maintenant, alors que l’inflation leur prend jusqu’au dernier euro, livre ou dollar, ils tirent leur révérence. Il est aussi possible que cela se fasse sous la pression des descendants, car eux aussi voient leur quotidien se gâter à cause du coût de la vie.
Pour nous personnellement, la maison individuelle est la provision pour la retraite, au cas où nous devrions aller en maison de retraite, ce qui est cher ici. Nous n’avons pas de membres de la famille en AUS.
Je vis actuellement dans le secteur privé en Angleterre la situation que l’on trouve souvent aussi chez nous en AUS. Des retraités de 65 à 80 ans et plus, surtout des femmes âgées, vendent leurs biens immobiliers, 400-600 m2 de surface habitable sur un grand terrain, parce qu’ils manquent de revenus mensuels nécessaires. Dans ces maisons, rien n’a été renouvelé ni réparé depuis des années, faute de moyens. Et maintenant, alors que l’inflation leur prend jusqu’au dernier euro, livre ou dollar, ils tirent leur révérence. Il est aussi possible que cela se fasse sous la pression des descendants, car eux aussi voient leur quotidien se gâter à cause du coût de la vie.