Joedreck
27.10.2021 06:49:12
- #1
Apparemment, je suis mal compris. Je soutiens tout à fait le développement des [EE] et je regarde aussi où je peux agir de manière écologique.
La question que je veux poser est : est-il pertinent sur le plan politique environnemental de taxer davantage l’énergie et d’électrifier la mobilité dans son ensemble ?
Je prétends que non. Ceux qui doivent faire la navette vers la ville n’ont souvent pas les moyens d’acheter une voiture électrique. Acheter signifie maintenant financer à 50 %.
Une étude qui a été relayée dans les médias montre que la voiture électrique devient plus écologique que le moteur à combustion à partir d’environ 160 000 km. Et à ce moment-là, la batterie est aussi cassée et doit être remplacée à un coût très élevé.
Je considère cela comme une subvention à l’industrie automobile. L’électrification ne peut pas fonctionner ainsi. C’est ce que je voulais dire par l’idéalisme qui est affiché à l’extérieur.
Le développement massif des transports en commun, l’obligation légale au télétravail au moins certains jours (associée à une numérisation croissante) seraient deux étapes importantes pour faire face durablement au changement climatique. Mais certainement pas des coûts supplémentaires qui pèsent de façon disproportionnée sur les classes à faibles revenus et que les conducteurs de SUV aisés (attention, exemple frappant pour illustrer) peuvent pratiquement ignorer.
Je n’ai pas à attribuer un prix si je rends les alternatives plus attrayantes en terme de prix et d’infrastructure que la variante moins écologique.
Pour financer cela, je prendrais d’ailleurs tout d’abord le [schwarze Buch] et commencerais par là. Avant d’augmenter les impôts, il faudrait réduire le gaspillage fiscal.
La question que je veux poser est : est-il pertinent sur le plan politique environnemental de taxer davantage l’énergie et d’électrifier la mobilité dans son ensemble ?
Je prétends que non. Ceux qui doivent faire la navette vers la ville n’ont souvent pas les moyens d’acheter une voiture électrique. Acheter signifie maintenant financer à 50 %.
Une étude qui a été relayée dans les médias montre que la voiture électrique devient plus écologique que le moteur à combustion à partir d’environ 160 000 km. Et à ce moment-là, la batterie est aussi cassée et doit être remplacée à un coût très élevé.
Je considère cela comme une subvention à l’industrie automobile. L’électrification ne peut pas fonctionner ainsi. C’est ce que je voulais dire par l’idéalisme qui est affiché à l’extérieur.
Le développement massif des transports en commun, l’obligation légale au télétravail au moins certains jours (associée à une numérisation croissante) seraient deux étapes importantes pour faire face durablement au changement climatique. Mais certainement pas des coûts supplémentaires qui pèsent de façon disproportionnée sur les classes à faibles revenus et que les conducteurs de SUV aisés (attention, exemple frappant pour illustrer) peuvent pratiquement ignorer.
Je n’ai pas à attribuer un prix si je rends les alternatives plus attrayantes en terme de prix et d’infrastructure que la variante moins écologique.
Pour financer cela, je prendrais d’ailleurs tout d’abord le [schwarze Buch] et commencerais par là. Avant d’augmenter les impôts, il faudrait réduire le gaspillage fiscal.