C’est précisément cette absurdité qui me rend furieux. Désolé, je dois le dire aussi clairement.
1) Il n’y a pas eu d’obligation vaccinale uniquement parce que ce sont exactement les personnes que tu diffames qui l’ont empêchée. La vaccination des groupes à risque contre le Corona est une bénédiction, pour tous les autres à mon avis une malédiction. Mais peu importe ce qu’on en pense et quelles données on utilise, exiger des vaccinations obligatoires comme le demandaient les Verts et les Rouges, c’est du fascisme. Partis ingouvernables. Les données sur le variant Delta et les effets secondaires des vaccins étaient déjà disponibles à l’époque. Les meilleures venaient de l’autorité sanitaire britannique. Mais l’Australie était aussi exemplaire. Rien de tout cela dans les médias publics. Ils ne fonctionnent pas aussi bien que tu l’écris ici.
Les gens l’ont empêché ? Comme c’est ridicule. C’était simplement de la chance parce que l’Allemagne n’aurait pas réussi à gérer ça numériquement et administrativement.
Ensuite, tu te contredis totalement. Tu dis d’une part que la vaccination des groupes à risque est une bénédiction et pour tous les autres une malédiction. Alors reprenons depuis le début. Qu’est-ce qu’un vaccin ? Un vaccin ne prévient pas, mais réduit la probabilité d’infection et de contagion, ainsi que la gravité de l’évolution. Comment veux-tu savoir si tu fais partie d’un groupe à risque ou pas ? Quel pourcentage des Allemands se font examiner en détail ? En Pologne (taux de vaccination alors en dessous de 50 %), beaucoup de « jeunes » soi-disant « sains » sont morts parce qu’ils ne voulaient pas se faire vacciner ou ont eu des séquelles importantes (Long COVID). Il y a aussi eu de nombreuses femmes enceintes qui ont perdu leur enfant parce qu’elles n’étaient pas vaccinées. Tant qu’on a une personne âgée dans sa famille, on devrait se faire vacciner par responsabilité envers les autres ou porter un masque FFP2. Mais attends, toi tu ne veux pas non plus… Peut-être devrais-tu penser un peu aux autres. Si tu as un « groupe à risque », que ce soit un père, une mère ou des grands-parents, c’est là que les alarmes devraient sonner et par amour pour eux, il faut se faire vacciner.