Scout
27.10.2021 15:11:20
- #1
Les juges constitutionnels ont justifié leur jugement sur la protection du climat par la protection de la liberté des générations futures et ont déduit de l’[Accord de Paris sur le climat] un budget carbone restant.
Les quantités d’émissions autorisées jusqu’en 2030 selon la loi sur la protection du climat réduisent tellement les possibilités d’émissions restantes après 2030 que, selon la Cour constitutionnelle fédérale, « cela met pratiquement en danger toute liberté protégée par les droits fondamentaux », par exemple la liberté d’habiter dans une maison chauffée, de tondre la pelouse, d’utiliser un ordinateur, de manger du bœuf, de produire de l’acier, des voitures ou des sacs à main, de labourer les champs, de participer à des congrès ou d’aller au cinéma.
Une économie dans ce sens ne pourrait plus non plus financer un État-providence au sens actuel. Alors que l’État-providence possède malheureusement une garantie d’éternité dans la Loi fondamentale. Le chat se mord donc la queue !
Ainsi, on peut comprendre ce jugement comme un mandat pour une sortie du CO2 avec un minimum de liberté personnelle et de potentiel de performance. Et à cet égard, l’énergie nucléaire – qu’on l’aime ou non – peut y contribuer de manière significative. Oui, selon le jugement, on peut même y voir un devoir catégorique pour la politique de redonner à l’énergie nucléaire un rôle plus important.
Car il ne serait pas nécessaire d’avoir des restrictions de liberté aussi dramatiques pour atteindre les objectifs climatiques que le Bundesverfassungsgericht suppose. Avec le budget carbone restant, on tiendrait plus longtemps sans restreindre drastiquement la liberté. Et c’est précisément avec cette liberté que la Cour constitutionnelle fédérale a fondé son jugement...
Les quantités d’émissions autorisées jusqu’en 2030 selon la loi sur la protection du climat réduisent tellement les possibilités d’émissions restantes après 2030 que, selon la Cour constitutionnelle fédérale, « cela met pratiquement en danger toute liberté protégée par les droits fondamentaux », par exemple la liberté d’habiter dans une maison chauffée, de tondre la pelouse, d’utiliser un ordinateur, de manger du bœuf, de produire de l’acier, des voitures ou des sacs à main, de labourer les champs, de participer à des congrès ou d’aller au cinéma.
Une économie dans ce sens ne pourrait plus non plus financer un État-providence au sens actuel. Alors que l’État-providence possède malheureusement une garantie d’éternité dans la Loi fondamentale. Le chat se mord donc la queue !
Ainsi, on peut comprendre ce jugement comme un mandat pour une sortie du CO2 avec un minimum de liberté personnelle et de potentiel de performance. Et à cet égard, l’énergie nucléaire – qu’on l’aime ou non – peut y contribuer de manière significative. Oui, selon le jugement, on peut même y voir un devoir catégorique pour la politique de redonner à l’énergie nucléaire un rôle plus important.
Car il ne serait pas nécessaire d’avoir des restrictions de liberté aussi dramatiques pour atteindre les objectifs climatiques que le Bundesverfassungsgericht suppose. Avec le budget carbone restant, on tiendrait plus longtemps sans restreindre drastiquement la liberté. Et c’est précisément avec cette liberté que la Cour constitutionnelle fédérale a fondé son jugement...