Les coûts de construction montent actuellement en flèche

Je ne mange plus de viande pour protéger le climat, le suivant a coupé son chauffage depuis le début de la guerre et ne se douche qu’à l’eau froide, une autre demande une limitation de vitesse, une autre encore l’isolation des maisons et le remplacement des ampoules à incandescence. Et bien sûr, le classique, encore plus d’éoliennes et d’installations photovoltaïques.

Le ton général : Poutine ne reçoit plus d’argent. Nous épuisons Poutine, pour ainsi dire.

Donc, nous devons choisir. Soit nous détruisons toute notre économie énergivore. Nous détruisons nos infrastructures, créons une masse de pauvres et de chômeurs. Déliquescence et guerre civile.

Si tu veux reprocher aux appelants d’éprouver le besoin de contribuer, tu aurais sûrement dû te faire connecter en studio. À quoi ça sert ici ?
Pourquoi la douche économisée d’un appelant détruirait-elle l’industrie ?
Le développement du photovoltaïque ou des éoliennes ne ruine pas non plus l’industrie, au contraire, cela crée même des emplois.

Réflexe de morsure ?

Es-tu en fait aussi POUR quelque chose, ou seulement contre tout ce que ton grand-père ne connaissait pas encore ?

Il n’y a pas de capacités supplémentaires pour compenser le charbon russe. Tout le reste est de la poudre aux yeux.

Tout le reste serait la vérité. Il y a globalement une gigantesque surcapacité de charbon (et de pétrole). Peut-être que jusqu’ici on préférait celui de Russie (prix ? voie de transport ?) mais le fournisseur n’est en aucun cas irremplaçable. Tu es complètement mal informé.
Pour le gaz, c’est déjà plus intéressant, voir mon message précédent.

Déliquescence et guerre civile.

Cela restera probablement ton rêve humide.

L'achat d'un bien immobilier pour une utilisation personnelle n'est pas avant tout un investissement visant à optimiser le rendement. La plupart font un achat émotionnel qui, au fil du temps, doit aussi se sentir « sûr ». Et une incertitude sur ce qui pourrait éventuellement m'arriver (y compris négativement) dans 10 ans ne contribue pas au sentiment de sécurité.

C'est drôle, car en même temps, la plupart justifient leur acquisition immobilière par des termes comme « constitution de patrimoine » et « préparation à la retraite ». Deux sujets pour lesquels le rendement devrait être au premier plan et non le sentiment. D'un autre côté, les gens versent aussi assidûment dans des contrats Riester ou des assurances retraite privées qui ne garantissent absolument aucun rendement...

Pour ma part, j'ai calculé qu'avec une petite augmentation de la mensualité à 2000 €, je n'ai absolument rien à craindre. Même avec 7-8 %, où je pourrais certainement aussi supporter une mensualité nettement plus élevée. La clé de la sécurité est le contrôle du capital restant dû, ce qu'on obtient par des fonds propres et le remboursement. Une longue période de taux fixe n'est qu'un substitut modéré, car elle ne protège que contre le risque de variation des taux. Mais si la plupart des biens du logement m'appartiennent et non à la banque, je suis aussi mieux protégé contre l'invalidité professionnelle, etc., où la période de taux fixe ne m'aide absolument pas.

Avec une inflation de 3-7 %, ils peuvent se détendre pendant les prochaines années jusqu'au remboursement de leurs prêts.

À condition que le salaire personnel augmente en conséquence !

Sinon, cela deviendra difficile lorsque le pouvoir d'achat net après déduction des mensualités bancaires diminuera de plus en plus. Et du côté net de l'État, ce sera encore plus serré parce que les caisses et la sécurité sociale sont vides après le Covid et les plans de relance massifs. Et on ne parle même pas encore d'une économie qui se détériore fortement en raison des pénuries partout.

Les salaires peinent toujours à suivre l'inflation. Même en cas d'hyperinflation. C'est pourquoi les travailleurs se sont précipités pour faire leurs achats le jour du paiement des salaires en 1923, car une heure plus tard, les prix avaient de nouveau quintuplé.

Les conventions collectives actuelles sont établies jusqu'à fin 2023. Les taux d'inflation jusqu'à cette date ne sont donc pas pris en compte. Que représentent déjà 3 % d'augmentation salariale par an face à 7 % d'inflation par mois.

m.W.
En 32 ans.
À l'époque, à 16 ans, j'ai financé un hall industriel à un taux d'intérêt de 10,4 %.
J'avais fini au bout de 4,5 ans.

32 ans, c'est censé être court ? Nous vieillissons tous, mais vieux Finlandais, ce n'est pas qu'une impression – c'est une moitié de vie.

J'ai déjà donné mon exemple. Avec un taux d'intérêt nominal de 10 %, il est judicieux de rembourser le plus rapidement possible. Cependant, si je paie 1,63 % avec une fixation des intérêts sur 30 ans, il n'a pas de sens d'investir des liquidités ou des excédents dans un remboursement rapide. Surtout lorsque l'inflation est supérieure à 1,63 %. Je préfère plutôt investir d'éventuels remboursements anticipés ou un taux de remboursement plus élevé dans des produits à rendement plus élevé (actions, ETF) et payer sagement 1,63 % pendant 30 ans, ou laisser l'inflation (à condition que mon salaire augmente plus que 1,63 % et, sur la durée, à peu près au rythme de l'inflation) rembourser mon prêt, puis profiter de l'argent ou des gains que je génère avec cela et que je peux consommer.

*s'ennuie parce que personne ne veut entrer dans ses rêveries apocalyptiques*

va courir. Compte tes provisions. Mais épargne-nous la propagande.