Bausparfuchs
18.01.2023 22:30:56
- #1
Je voudrais brièvement raconter l’histoire concernant la pénurie de personnel qualifié.
Ma femme est assistante fiscale avec une formation Datev.
En 2012, nous avons déménagé de Nuremberg en Saxe-Anhalt, dans notre maison. Déjà après quelques semaines, il y avait une offre d’emploi dans un grand notariat à environ 25 km de notre nouveau lieu de résidence. Ça semblait bien.
2 notaires et 10 femmes employées. Temps plein de 8 h à 17 h. Le salaire était alors très bas avec 7,60 euros brut. Le travail était très stressant et intensif. Cela a duré 6 mois et après la période d’essai, le contrat de travail a été changé sous une forte pression en temps partiel avec seulement 6 heures de travail pour la même charge de travail. On était déjà formée.
Ce fut alors la cause d’une longue période de maladie avec une démission souhaitée de l’employeur.
Il y a eu ensuite diverses candidatures chez des conseillers fiscaux avec des horaires de travail étranges et d’autres histoires. Les salaires étaient presque exclusivement inférieurs à 10 euros. Il y avait des conseillers fiscaux qui ont refusé ma femme et ont engagé des diplômés en économie d’entreprise de l’université pour 1800 brut.
Un dimanche soir, un conseiller fiscal a appelé chez nous et ma femme devait commencer lundi matin à sept heures, après que la candidature leur ait été envoyée des mois auparavant et qu’on n’avait plus eu de nouvelles.
Sur 20 candidatures, peut-être 2 retours. On traitait les gens comme de la merde.
Et aujourd’hui, ils s’étonnent qu’ils ne trouvent pas de personnel. Ma compassion est très limitée.
Le système éducatif allemand est délaissé. Il ne vient tout simplement plus rien. Mais comme j’ai dû l’entendre aujourd’hui de la part du syndicat des enseignants, on veut atténuer la pénurie d’enseignants en recrutant des enseignants étrangers. C’est exactement ce dont nous avons besoin.
Après tout, nous avons les enseignants les mieux payés et les élèves les plus stupides.
Ma femme est assistante fiscale avec une formation Datev.
En 2012, nous avons déménagé de Nuremberg en Saxe-Anhalt, dans notre maison. Déjà après quelques semaines, il y avait une offre d’emploi dans un grand notariat à environ 25 km de notre nouveau lieu de résidence. Ça semblait bien.
2 notaires et 10 femmes employées. Temps plein de 8 h à 17 h. Le salaire était alors très bas avec 7,60 euros brut. Le travail était très stressant et intensif. Cela a duré 6 mois et après la période d’essai, le contrat de travail a été changé sous une forte pression en temps partiel avec seulement 6 heures de travail pour la même charge de travail. On était déjà formée.
Ce fut alors la cause d’une longue période de maladie avec une démission souhaitée de l’employeur.
Il y a eu ensuite diverses candidatures chez des conseillers fiscaux avec des horaires de travail étranges et d’autres histoires. Les salaires étaient presque exclusivement inférieurs à 10 euros. Il y avait des conseillers fiscaux qui ont refusé ma femme et ont engagé des diplômés en économie d’entreprise de l’université pour 1800 brut.
Un dimanche soir, un conseiller fiscal a appelé chez nous et ma femme devait commencer lundi matin à sept heures, après que la candidature leur ait été envoyée des mois auparavant et qu’on n’avait plus eu de nouvelles.
Sur 20 candidatures, peut-être 2 retours. On traitait les gens comme de la merde.
Et aujourd’hui, ils s’étonnent qu’ils ne trouvent pas de personnel. Ma compassion est très limitée.
Le système éducatif allemand est délaissé. Il ne vient tout simplement plus rien. Mais comme j’ai dû l’entendre aujourd’hui de la part du syndicat des enseignants, on veut atténuer la pénurie d’enseignants en recrutant des enseignants étrangers. C’est exactement ce dont nous avons besoin.
Après tout, nous avons les enseignants les mieux payés et les élèves les plus stupides.