Pascali
03.03.2024 23:58:41
- #1
Merci beaucoup pour toutes les indications et réflexions ! Une exclusion de la vente aux enchères de partage est donc judicieuse dans ce projet.
1. A ne peut pas se permettre d’acheter seul le bien immobilier
2. Si B achète la maison, il paie effectivement la maison, sinon ce serait A qui achèterait. Mais si A paie et que B devient propriétaire, ce serait un don soumis à la taxe sur les donations.
Ah bon. L’avis est adressé à celui qui a la majorité des fractions ?
Mais le fisc s’intéresse à celui qui paie, sinon chaque paiement serait une donation.
D’accord, alors un droit de préemption sur les parts respectives de l’autre propriétaire est accordé.
Alors A reprend le crédit ou perd le bien si cela n’est pas possible. Mais ce problème existe toujours si l’un ne peut pas se permettre seul le bien. C’est pareil en cas de dispute ou de perte de ressources. Pour le fait de financer, B a aussi pu mettre de côté de l’argent longtemps. En cas de faillite personnelle c’est un bon conseil. Un droit de préemption doit alors être convenu pour l’autre.
A n’a pas assez d’argent seul.
Oui, c’est ce que j’avais compris aussi. Ils sont responsables ensemble du crédit commun, mais B peut faire la remise du crédit et ainsi obtenir plus de fractions.
B obtient autant de parts que le montant du crédit. Pour un crédit de 100 000 € que B rembourse seul, B obtient des parts pour 100 000 €.
B n’est pas très âgé. Une partie doit être financée. Pourquoi le financement serait-il exclu ?
Intéressant. B pourrait aussi dire, je vends mes parts pour un million d’euros – il pourrait même prétendre qu’une personne C offre cela, même si ce n’est pas vrai. Et cette personne C ne voudrait pas que A achète, car le prix est trop élevé.
Si A attend quelques années, B peut encore habiter comme souhaité. Où est donc la ruine ?
Ainsi c’est plus claire.
- A achète la maison et laisse B y habiter gratuitement. Au besoin avec un droit d’habitation ou un bail à loyer fixe. Tout le monde est content.
- B achète la maison et A paie tout. Alors la taxe ne le dérangera pas non plus.
1. A ne peut pas se permettre d’acheter seul le bien immobilier
2. Si B achète la maison, il paie effectivement la maison, sinon ce serait A qui achèterait. Mais si A paie et que B devient propriétaire, ce serait un don soumis à la taxe sur les donations.
Il y a un avis de la commune. Peu importe qui le paie pour la commune.
Ah bon. L’avis est adressé à celui qui a la majorité des fractions ?
Mais le fisc s’intéresse à celui qui paie, sinon chaque paiement serait une donation.
Non. Il ne paie tout simplement plus le crédit.
D’accord, alors un droit de préemption sur les parts respectives de l’autre propriétaire est accordé.
- B meurt soudainement
- A et B se disputent
- A devient sans ressources et doit vendre son patrimoine immobilier
- A n’a plus envie au bout de 10 ans de financer B
- B est en faillite personnelle.
Alors A reprend le crédit ou perd le bien si cela n’est pas possible. Mais ce problème existe toujours si l’un ne peut pas se permettre seul le bien. C’est pareil en cas de dispute ou de perte de ressources. Pour le fait de financer, B a aussi pu mettre de côté de l’argent longtemps. En cas de faillite personnelle c’est un bon conseil. Un droit de préemption doit alors être convenu pour l’autre.
Quel est le problème si A achète et laisse B habiter gratuitement ? Problème résolu. Le sujet pourrait être clos.
A n’a pas assez d’argent seul.
Cela ne marche pas avec les crédits. Soit chacun finance seul et est seul responsable – ça pose problème aux banques avec les hypothèques. Ou ils sont responsables ensemble et peuvent aussi prendre un crédit commun.
Merci de bien différencier « prise de crédit », « responsabilité » et « qui rembourse ».
Oui, c’est ce que j’avais compris aussi. Ils sont responsables ensemble du crédit commun, mais B peut faire la remise du crédit et ainsi obtenir plus de fractions.
Ah oui. Si B obtient une petite part dans le registre foncier, pourquoi B devrait-il rembourser 100% ?
B obtient autant de parts que le montant du crédit. Pour un crédit de 100 000 € que B rembourse seul, B obtient des parts pour 100 000 €.
Alors un financement est sans doute exclu. Sauf si B est très âgé.
B n’est pas très âgé. Une partie doit être financée. Pourquoi le financement serait-il exclu ?
Malheureusement, ce n’est pas celui qui rembourse qui reste. C’est celui qui a le plus de parts au registre foncier ou celui qui est plus solvable et peut payer l’autre en cas de besoin.
Intéressant. B pourrait aussi dire, je vends mes parts pour un million d’euros – il pourrait même prétendre qu’une personne C offre cela, même si ce n’est pas vrai. Et cette personne C ne voudrait pas que A achète, car le prix est trop élevé.
Mais c’est sûr que c’est possible. L’argent sert de levier pour sortir du registre foncier et c’est tout. Si A attend quelques années, il ruine B.
Si A attend quelques années, B peut encore habiter comme souhaité. Où est donc la ruine ?
N’est-ce pas un peu bizarre de parler de soi à la troisième personne ?
Ainsi c’est plus claire.