haydee
20.06.2022 13:10:40
- #1
C'était voulu politiquement, car pourquoi sinon nommerait-on pendant des décennies des personnes de l'industrie automobile / lobby dans la gestion des chemins de fer ? Des questions, Monsieur Kienzle... L'Allemagne est et reste tout simplement (encore quelques années) un pays automobile. On le voit bien dans les discussions passionnées sur la limitation de vitesse.
Et maintenant, de manière tout à fait "factuelle" : nous n'avons pas pu la mettre en œuvre jusqu'à présent car nous n'avions pas les panneaux appropriés et ceux-ci seraient apparemment introuvables (citation du Berliner Zeitung : « Selon le ministre des Transports Wissing (FDP), une limitation de vitesse échouerait déjà par manque de panneaux de signalisation suffisants. ») :eek: :eek:
J'attends encore un peu et je pleurerai plus tard quand l'industrie automobile allemande se sera auto-détruite. Dommage...
Non, ce n'était pas voulu politiquement. C'est simplement devenu non rentable de déposer quelque part 3 wagons et de venir les récupérer plus tard. Sans parler de la logistique, ici on charge pour Francfort, là pour Hambourg et ailleurs pour l’usine de Klecksdorf. Klecksdorf est chargé, mince, c'est tout au fond, il faut d'abord que les autres partent. Ensuite, les petites installations géisées sur terrain privé ont été fermées, tout est transporté par camion jusqu'à la gare principale la plus proche et déchargé. Non rentable, le temps que les marchandises soient rechargées, on peut tout aussi bien aller directement au lieu de destination et youpi, le Just-In-Time pour petites quantités est possible. C'était un processus bien avant la privatisation.