Les coûts de construction montent actuellement en flèche

  • Erstellt am 23.04.2021 10:46:58

guckuck2

03.01.2023 09:26:40
  • #1


C’est exact, beaucoup l’ont fait. L’Autriche a même émis des obligations à 100 ans.

L’Allemagne, dirigée par la CDU, a en revanche été gourmande et a malheureusement beaucoup misé sur des obligations à très court terme, ce qui se reflète maintenant dans le budget.
 

WilderSueden

03.01.2023 09:51:54
  • #2
Je me demande toujours aussi qui achète des obligations centenaires à quasi zéro coupon. En raison de la durée, elles sont tellement sensibles aux variations des taux d'intérêt qu'on peut aussi simplement investir directement dans des actions ;)
 

guckuck2

03.01.2023 12:08:15
  • #3


J'ai regardé rapidement. Les obligations centenaires d'Autriche en 2017 ont un coupon de 2,10 % et un rendement actuel de 2,95 %. On ne peut pas se plaindre.
 

se_na_23

03.01.2023 12:18:14
  • #4


Au pouvoir seul ? Qui aurait fait autre chose à part parler intelligemment a posteriori ?
 

WilderSueden

03.01.2023 13:07:02
  • #5

Oui, celle de 2017 est encore acceptable. Mais il y en a eu plus tard avec 0,85%. Et n'oubliez pas, le rendement plus élevé maintenant vient du fait qu'on peut acheter celle de 2017 à 75% de la valeur nominale. Ceux qui ont investi initialement à l'époque ont subi une perte de 25% en 5 ans avec une obligation. Celle à 0,85% est maintenant à 44% de la valeur nominale. Les obligations à long terme ne sont pas un placement pour les personnes en quête de sécurité.
 

guckuck2

03.01.2023 14:40:17
  • #6


Pas gouverné seul, cependant le CDU a porté la Schwarze Null comme saint Graal et le ministère compétent était majoritairement dirigé par le CDU.

J’ai déjà répondu à qui a fait autrement (pas aurait fait) avec l’exemple de l’Autriche. Vous ne serez pas seul. Les USA, par exemple, émettent depuis trop longtemps des obligations.




Cela dépend de l’usage. L’important est de ne pas confondre l’obligation avec une action. Ce n’est certainement pas un instrument financier pour tout le monde. Le groupe cible existe cependant et l’État aurait été sage de faire comme ses voisins. Mais les chemins spéciaux sont « notre » affaire.
 
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