Les coûts de construction montent actuellement en flèche

  • Erstellt am 23.04.2021 10:46:58

BackSteinGotik

08.07.2022 19:41:30
  • #1

L'obligation KfW55 a pourtant déjà été supprimée avant-hier ??
 

danielohondo

08.07.2022 19:52:19
  • #2

Y a-t-il une source à ce sujet ? Je n'ai malheureusement rien trouvé à ce propos. Il est indiqué partout que EH55 devient obligatoire selon la loi sur l'énergie des bâtiments.
 

Smarti99

08.07.2022 21:13:59
  • #3
Le standard Kfw55 a été annulé seulement ces derniers jours, heureusement.
 

mayglow

08.07.2022 21:24:10
  • #4

Les exigences en matière d'isolation thermique ont été supprimées (hier ? avant-hier ? quelque chose comme ça). La demande d'énergie primaire est encore en vigueur, il me semble. J'en avais clairement aussi lu dans des médias classiques, mais j'ai du mal à retrouver un article pour l'instant. Si tu cherches "dilution de la loi sur l'énergie des bâtiments" sur Google, tu trouves par exemple quelque chose de la chambre des architectes de Basse-Saxe.
 

WilderSueden

08.07.2022 21:25:40
  • #5

Absolument imprévisible, tant pour les matériaux que pour les taux d'intérêt. Cela dépend simplement de très nombreuses décisions politiques. Si ça tourne mal, dans quelques semaines, les entreprises à forte consommation d'énergie s'arrêtent plus ou moins. Alors tu n'as plus de ciment, plus d'acier, plus de fenêtres, plus de briques. Quand l'offre devient presque inexistante, une demande en chute ne sert plus à rien non plus. En même temps, tu as alors une récession massive contre laquelle aucune banque centrale ne peut plus rien imprimer. Bien sûr, cela peut aussi se passer autrement et tout s'améliorer. Mais alors, tu n'as en général pas d'effondrement des prix des matériaux. Alternativement, l'inflation peut aussi continuer d’augmenter, ce qui fait monter les taux également. Le marché des capitaux est un peu plus rapide que la BCE.
 

ypg

10.07.2022 12:38:36
  • #6
Samedi, il y avait ici le creux de l'été.

Une petite pause, certains ont commencé les vacances d'été.
D'autres ont regardé à la télé la catastrophe des inondations.
On ne peut pas se plaindre des prix de la construction et de la disponibilité des matériaux, quand il y a des personnes concernées qui, après un an, ont encore beaucoup à faire pour reconstruire leur existence avec leur hypothèque musculaire.
Cela me rappelle « à l'époque », quand en 2013 il y a eu une tempête si grave que nous avons dû attendre nos tuiles de toit ou le couvreur. Les dégâts causés par les tempêtes ont toujours la priorité.
 
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