Smarti99
20.07.2022 12:03:49
- #1
Oh mec... ne pas s’égarer, mais bon, juste un court instant, puis svp back to topic.
C’est (ou plutôt nous sommes en train de rénover) un immeuble ancien rénové. Le calcul était de 7,9 kW. Un 8 kW aurait été trop juste, le 9 kW coûtait presque autant que le 13 kW, d’autant plus que la subvention BAFA de 45 % entre aussi en jeu. La disponibilité est également incertaine pour tout ce qui est entre 8 et 12. Le grand modèle était au moins disponible immédiatement sauf pour l’unité extérieure. De plus, il a une meilleure efficacité à des températures froides, c’est-à-dire que le chauffage d’appoint ou la « résistance » commence seulement à (maintenant je dois estimer parce que je ne me souviens plus parfaitement) -10 °C, alors que pour les petites installations, c’est plus tôt.
En outre, le système doit pouvoir aussi refroidir en plein été, ce que les plus petites installations ne peuvent probablement pas faire, ou du moins, pas avec cette efficacité.
Toutes ces informations proviennent des conseils donnés par mon plombier.
Je me suis senti très bien conseillé par le plombier, je le connais aussi personnellement et l’apprécie comme un partenaire compétent. Je ne pense pas qu’il m’arnaque, sinon il n’aura pas de bière à la fête d’emménagement.
Le 8 aurait parfaitement convenu. Là, le plombier peut déjà se réjouir de la prochaine commande : remplacement de la pompe à chaleur après 5 ans parce qu’elle a fonctionné en mode intermittent à l’excès.
Avant ça, il recevra encore un appel de ta part : pourquoi ai-je des factures d’électricité aussi exorbitantes ?
Plot twist : Parce que la pompe à chaleur se met en marche et s’arrête constamment en dehors de sa plage de fonctionnement optimale.
En réalité, la charge de chauffage est encore 30 % plus basse parce que les gains solaires et internes ne sont pas pris en compte dans la DIN 12831.