xMisterDx
13.06.2023 08:47:49
- #1
Ce genre de prêts (1% d’intérêt, 1% d’amortissement sur 10 ans) presque personne ne les a souscrits, parce que c’était et c’est complètement insensé.
Ce mythe est sans cesse relayé, pour entretenir l’espoir de bonnes affaires aux enchères forcées chez ceux qui n’ont pas osé construire pendant la période de taux bas...
Mais même dans ce cas. Les salaires ont augmenté de 25% depuis 2012, les prix des maisons ont depuis doublé dans de nombreuses régions. Il ne faut donc pas financer en moyenne 350-400.000 EUR, comme c’est probablement le cas aujourd’hui, mais seulement 175-200.000 EUR. Cela ne devrait pas poser de problème même à 4%...
Je peux comprendre qu’on trépigne au bord du terrain. Mais la grande vague de faillites personnelles chez les propriétaires n’arrivera pas. Parce qu’on se restreint massivement au début pour garder la maison. On ne perd pas seulement de l’argent, mais aussi un « chez-soi ».
Et les banques sont aussi prêtes à négocier. Le risque de saisir une maison construite en 2012 avec une chaudière à gaz est loin d’être nul.
Et la banque ne récupérera jamais à la fin plus que ce à quoi elle a droit. Le surplus lors de la vente revient à l'ancien propriétaire.
De toute façon... lors de ces ventes aux enchères forcées, seules les maisons que personne ne veut même gratuitement partent en tant que bonnes affaires. Dans les bonnes localisations, en qualité solide, les acheteurs se disputent les maisons à des prix qui font qu’on peut aussi bien acheter sur le marché classique.
Ce mythe est sans cesse relayé, pour entretenir l’espoir de bonnes affaires aux enchères forcées chez ceux qui n’ont pas osé construire pendant la période de taux bas...
Mais même dans ce cas. Les salaires ont augmenté de 25% depuis 2012, les prix des maisons ont depuis doublé dans de nombreuses régions. Il ne faut donc pas financer en moyenne 350-400.000 EUR, comme c’est probablement le cas aujourd’hui, mais seulement 175-200.000 EUR. Cela ne devrait pas poser de problème même à 4%...
Je peux comprendre qu’on trépigne au bord du terrain. Mais la grande vague de faillites personnelles chez les propriétaires n’arrivera pas. Parce qu’on se restreint massivement au début pour garder la maison. On ne perd pas seulement de l’argent, mais aussi un « chez-soi ».
Et les banques sont aussi prêtes à négocier. Le risque de saisir une maison construite en 2012 avec une chaudière à gaz est loin d’être nul.
Et la banque ne récupérera jamais à la fin plus que ce à quoi elle a droit. Le surplus lors de la vente revient à l'ancien propriétaire.
De toute façon... lors de ces ventes aux enchères forcées, seules les maisons que personne ne veut même gratuitement partent en tant que bonnes affaires. Dans les bonnes localisations, en qualité solide, les acheteurs se disputent les maisons à des prix qui font qu’on peut aussi bien acheter sur le marché classique.