exactement, il est indiqué que cyz va au-delà du minimum légal.
Je ne suis pas avocat, mais je peux aussi être pointilleux sur les spécifications ;)
Le cas suivant est clairement couvert :
reprise à hauteur de 2/3, le propriétaire du terrain vend la maison avec le terrain -> indemnisation au prix de vente réel.
Non couvert car pas de vente :
- reprise à hauteur de 2/3, le propriétaire du terrain l’utilise lui-même
- reprise à hauteur de 2/3, le propriétaire du terrain laisse son petit-fils y habiter gratuitement
- reprise à hauteur de 2/3, le propriétaire du terrain loue la maison
- reprise à hauteur de 2/3, le propriétaire du terrain donne en emphytéose la maison et le terrain (= pas de vente) à quelqu’un d’autre pour 99 ans
2 avocats, 3 avis :
- reprise, transformation en maison bi-familiale, déclaration de copropriété, vente des appartements
- reprise, usage qui n’est pas une vente, puis vente après X années
Il est aussi indiqué quelque part dans cet extrait qu’on a un droit à une prolongation. Simplement, une prolongation anticipée
est possible. Si le bailleur ne le veut pas... voir ci-dessus.
Et en ce qui concerne les accords qui vont au-delà du minimum légal... on peut bien sûr le faire. Le propriétaire foncier n’a simplement aucune incitation tant qu’il parvient quand même à se débarrasser du terrain. Jusqu’à il y a un an, les terrains étaient extrêmement rares et les zones à bâtir presque partout massivement surchargées. Il n’y a donc aucune incitation à convenir d’une indemnisation de 90 % s’il ne le faut pas.