stephan.l
16.05.2019 18:06:11
- #1
:
Tous les textes explicatifs concernant les factures ci-dessous ne sont pas abrégés mais complets. J’ose affirmer que, pour cette raison même, cela n’est pas vérifiable ? Les dates sont correctes, cela a pris un peu de temps – grâce à l’administration des bâtiments – les montants incluent la TVA.
1. Facture, 10/2016, 6 200 €
« prestation de planification réalisée jusqu’à présent, esquisse »
2. Facture architecte, 11/2016, 10 000 €
« planification de projet, planification d’autorisation »
3. Facture 01/2018, 10 000 €
« prestation de planification réalisée jusqu’à présent, ½ plan d’exécution »
4. Facture architecte, 03/2018, 9 000 €
« planification de structure porteuse (calcul statique) » (selon le contrat HOAI 2013, cela ne devait expressément pas être commandé par lui, mais directement par moi)
5. Facture architecte, 05/2018, 9 200 €
« planification d’objet partie 3, bâtiments et espaces intérieurs »
6. Facture architecte, 05/2018, 10 000 €
« planification de structure porteuse (calcul statique), y compris la planification d’exécution »
« équipements techniques du bâtiment (chauffage-ventilation-sanitaire), y compris la planification d’exécution » (pour ce dernier point, je n’ai reçu aucun document, rien)
Arrêt des travaux 06/2018 – 12/2018, frais d’avocat pour moi 21 000 €
7. Facture architecte, 04/2019, 10 000 € - non payée
« Architecte selon contrat 2.1.1 – 2.1.9 au prorata (drôle, la phase de prestation 9 n’est pas commandée selon le contrat)
« frais de déplacement selon contrat 6.2 au prorata » (également drôle, il m’avait promis oralement 0 et l’avait indiqué à 0 dans son estimation des coûts)
Oui, au point 7, j’ai alors tiré la sonnette d’alarme. Jusqu’à l’arrêt des travaux (évidemment à la charge de l’architecte, mais pas clairement imputable légalement à lui), j’étais sans doute un peu trop confiant. Après, plus du tout. La référence faisait justement état du fait que c’est une administration des bâtiments très très difficile et qu’il pouvait soi-disant bien gérer cela. Maintenant, ils ne lui parlent plus.
Tous les textes explicatifs concernant les factures ci-dessous ne sont pas abrégés mais complets. J’ose affirmer que, pour cette raison même, cela n’est pas vérifiable ? Les dates sont correctes, cela a pris un peu de temps – grâce à l’administration des bâtiments – les montants incluent la TVA.
1. Facture, 10/2016, 6 200 €
« prestation de planification réalisée jusqu’à présent, esquisse »
2. Facture architecte, 11/2016, 10 000 €
« planification de projet, planification d’autorisation »
3. Facture 01/2018, 10 000 €
« prestation de planification réalisée jusqu’à présent, ½ plan d’exécution »
4. Facture architecte, 03/2018, 9 000 €
« planification de structure porteuse (calcul statique) » (selon le contrat HOAI 2013, cela ne devait expressément pas être commandé par lui, mais directement par moi)
5. Facture architecte, 05/2018, 9 200 €
« planification d’objet partie 3, bâtiments et espaces intérieurs »
6. Facture architecte, 05/2018, 10 000 €
« planification de structure porteuse (calcul statique), y compris la planification d’exécution »
« équipements techniques du bâtiment (chauffage-ventilation-sanitaire), y compris la planification d’exécution » (pour ce dernier point, je n’ai reçu aucun document, rien)
Arrêt des travaux 06/2018 – 12/2018, frais d’avocat pour moi 21 000 €
7. Facture architecte, 04/2019, 10 000 € - non payée
« Architecte selon contrat 2.1.1 – 2.1.9 au prorata (drôle, la phase de prestation 9 n’est pas commandée selon le contrat)
« frais de déplacement selon contrat 6.2 au prorata » (également drôle, il m’avait promis oralement 0 et l’avait indiqué à 0 dans son estimation des coûts)
Oui, au point 7, j’ai alors tiré la sonnette d’alarme. Jusqu’à l’arrêt des travaux (évidemment à la charge de l’architecte, mais pas clairement imputable légalement à lui), j’étais sans doute un peu trop confiant. Après, plus du tout. La référence faisait justement état du fait que c’est une administration des bâtiments très très difficile et qu’il pouvait soi-disant bien gérer cela. Maintenant, ils ne lui parlent plus.