pagoni2020
11.01.2021 14:41:03
- #1
Lol tu as vraiment fait beaucoup d’efforts pour me faire dire quasiment chaque mot à l’envers. Toutefois, ton déluge n’en vaut pas une réponse sur le fond, mais je me permets de te signaler poliment que je n’ai aucun lien avec le mouvement connu sous le nom de « Querdenker ».
Non, ce n’était pas un effort, les occasions étaient parfois tout simplement trop faciles.
Bien sûr, j’ai aussi volontairement exagéré, mais cela se voit facilement. Certaines de tes affirmations sont à mon avis simplement assez plates, désolé.
Crois-moi, cette situation me casse les pieds au moins autant, j’en « souffre », car mon travail merveilleux se déroule habituellement à l’étranger lointain, je ressens un vrai manque, pas de revenu à cause de ça, pas d’activité, un vide ressenti. Cependant, les gens simples là-bas vont vraiment beaucoup plus mal en comparaison et quand je les appelle... C’EST EUX QUI ME REDONNENT DU COURAGE, au point que cela me met mal à l’aise.
Bien sûr que c’est stressant pour les familles et pour beaucoup, mais nous vivons encore ici dans une bulle de confort comparée à de nombreuses parties du monde. Alors j’ai souvent du mal à supporter certaines lamentations autour de moi, souvent même de la part de personnes qui reçoivent un salaire presque plein en télétravail. Pour moi c’est ZERO et aussi un vide total ! Alors je cherche ce que je peux en apprendre et en faire, geindre et râler ne m’aide pas beaucoup.
Si ces restrictions parfois aussi parfois inappropriées / sans sens et le port du masque sont vraiment le pire que je doive vivre dans ma génération, j’en suis très reconnaissant – je signerais ça immédiatement et accepterais volontiers, sans me plaindre !
Je n’avais pas l’intention de déformer des mots, ni de te voir comme un soi-disant Querdenker, mais une partie de ton texte m’a tout simplement paru trop plat et similaire à ce soi-disant Querdenken.
Les gens qui ont toujours été proches de la nature ont moins de problèmes aujourd’hui et se plaignent aussi moins. À mon avis, ce sont plutôt la « société de l’événement » d’aujourd’hui qui geint, du moins c’est mon opinion !