Eh bien, si l'architecte est le maître d'ouvrage, alors il est aussi l'entreprise générale/entrepreneur général et porte donc le chapeau "architecte" de manière secondaire. Dans la construction classique avec un architecte, le maître d'ouvrage est le MOA.
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Certainement. Cependant, le levier que l'on peut avoir face à un artisan est généralement largement surestimé, surtout quand il s'agit de la structure brute et que l'on veut ou doit finir les travaux.
Car quelle serait dans ce cas la conséquence ?
Le mur est mal positionné et si l'on n'a pas la chance ou l'intelligence d'avoir fait réaliser la dalle intermédiaire par une entreprise différente de celle qui réalise la maçonnerie, alors le maçon ne continuera pas tant que cette question ne sera pas réglée.
Il faut simplement regarder quand cela vaut la peine de faire une histoire, c'est-à-dire en cas de défauts importants et préjudiciables pour la structure... ou quand il ne s'agit que de devoir réduire les meubles de cuisine de 10 cm, ce qui en général ne pose absolument aucun problème, car il existe des meubles bas en 40, 50, 60, 80, 90 et 100 cm. En payant un supplément, on peut même obtenir du 70 cm, je crois, chez certains fabricants.
Engager un conflit avec le maçon parce que la ligne de cuisine fait 3,98 m au lieu de 4,01 m… ok, pour ceux qui n’ont pas besoin d’habiter la maison dans les 2 ou 3 prochaines années, libre à eux. Il est probable que même les tribunaux jugeront que modifier le mur n’est pas proportionné au préjudice.