WilderSueden
25.11.2023 20:44:07
- #1
Pas seulement des déshumidificateurs de chantier, mais aussi divers autres outils. Une scie humide pour pavés devrait également faire partie des choses que l'on peut louer plus fréquemment, mais que l'on achète rarement pour une utilisation de 2 jours. Une plaque vibrante de même, bien qu'on puisse en trouver d'occasion relativement bon marché.
Fondamentalement, ton argumentation ignore les ordres de grandeur et la chronologie. Il y a une grande différence entre réaliser habituellement un équilibre financier (ou même économiser pour les bons moments) et subir en cas d'urgence une perte de 5 à 10 milliards. Ou alors contracter des dettes exceptionnelles de 100 milliards ici et 200 milliards là. On se retrouve rapidement à l’échelle d’un budget annuel qui devrait surgir de nulle part par la banque centrale. Au fond, la discussion n’est rien d’autre qu’une réédition de Keynes, ce qui a déjà échoué lamentablement, car à la fin, il n’est pas investi dans l’avenir ni dans la création de valeur dans le pays, mais ce sont finalement des dettes contractées pour des produits de consommation chinois.
Finalement, en Allemagne, le problème ne vient pas vraiment de l’argent à beaucoup d’endroits. Beaucoup de choses peuvent être construites sans problème par le secteur privé. Qu’il s’agisse de parcs éoliens ou de lignes à très haute tension. Le problème réside surtout dans une bureaucratie excessive et une administration inefficace. En tant que maître d’ouvrage, on peut en vivre des petits exemples tout comme diverses entreprises à grande échelle. En politique, c’est un thème classique du dimanche, dont tout le monde parle mais sur lequel personne ne travaille réellement.
Fondamentalement, ton argumentation ignore les ordres de grandeur et la chronologie. Il y a une grande différence entre réaliser habituellement un équilibre financier (ou même économiser pour les bons moments) et subir en cas d'urgence une perte de 5 à 10 milliards. Ou alors contracter des dettes exceptionnelles de 100 milliards ici et 200 milliards là. On se retrouve rapidement à l’échelle d’un budget annuel qui devrait surgir de nulle part par la banque centrale. Au fond, la discussion n’est rien d’autre qu’une réédition de Keynes, ce qui a déjà échoué lamentablement, car à la fin, il n’est pas investi dans l’avenir ni dans la création de valeur dans le pays, mais ce sont finalement des dettes contractées pour des produits de consommation chinois.
Finalement, en Allemagne, le problème ne vient pas vraiment de l’argent à beaucoup d’endroits. Beaucoup de choses peuvent être construites sans problème par le secteur privé. Qu’il s’agisse de parcs éoliens ou de lignes à très haute tension. Le problème réside surtout dans une bureaucratie excessive et une administration inefficace. En tant que maître d’ouvrage, on peut en vivre des petits exemples tout comme diverses entreprises à grande échelle. En politique, c’est un thème classique du dimanche, dont tout le monde parle mais sur lequel personne ne travaille réellement.