xMisterDx
01.06.2023 09:43:24
- #1
Le secteur de la construction devra automatiser davantage pour pouvoir répondre à la forte demande avec un effectif en baisse à des prix à peu près abordables, oui.
Cependant, je ne vois pas encore de changement de mentalité actuel quand le patron d’une entreprise de plâtrerie me dit :
« Silos ? Ça ne vaut pas le coup, je peux mettre un gars à porter des sacs toute la journée, c’est même moins cher au final. »
C’est aussi une des raisons pour lesquelles les ouvriers du bâtiment sont souvent physiquement épuisés de façon définitive vers la cinquantaine.
Parce que c’est moins cher de les faire s’épuiser au travail plutôt que de louer une machine ou une grue.
Pour moi, construire une maison préfabriquée n’a rien donné. Nous avons décidé de l’emplacement des prises électriques uniquement sur place avec l’électricien, c’est pourquoi elles sont, à quelques exceptions près, parfaitement placées.
Inimaginable de devoir fixer ça, comme certains voisins, avec un planificateur peu motivé derrière un ordinateur. Nous avons complètement changé la salle de bain lorsque nous étions dans la phase du second œuvre. Cela n’aurait pas été possible dans une maison préfabriquée.
Éventuellement, cela changera un jour grâce à la réalité virtuelle. Mais pour beaucoup de maîtres d’ouvrage, ce sera un gros problème, car on ne peut vraiment se représenter l’espace qu’en étant à l’intérieur… et même là, ma femme a parfois encore du mal à se projeter.
Car dans la construction « pierre sur pierre », je vois plutôt peu de possibilités d’automatisation déjà existantes aujourd’hui. Un robot à rainurer serait super, mais il faudrait qu’il puisse réaliser un étage entier entièrement de façon autonome. Et pour les tâches complexes comme tirer les câbles et les raccorder… je ne vois pas une machine capable de cela de sitôt…
Cependant, je ne vois pas encore de changement de mentalité actuel quand le patron d’une entreprise de plâtrerie me dit :
« Silos ? Ça ne vaut pas le coup, je peux mettre un gars à porter des sacs toute la journée, c’est même moins cher au final. »
C’est aussi une des raisons pour lesquelles les ouvriers du bâtiment sont souvent physiquement épuisés de façon définitive vers la cinquantaine.
Parce que c’est moins cher de les faire s’épuiser au travail plutôt que de louer une machine ou une grue.
Pour moi, construire une maison préfabriquée n’a rien donné. Nous avons décidé de l’emplacement des prises électriques uniquement sur place avec l’électricien, c’est pourquoi elles sont, à quelques exceptions près, parfaitement placées.
Inimaginable de devoir fixer ça, comme certains voisins, avec un planificateur peu motivé derrière un ordinateur. Nous avons complètement changé la salle de bain lorsque nous étions dans la phase du second œuvre. Cela n’aurait pas été possible dans une maison préfabriquée.
Éventuellement, cela changera un jour grâce à la réalité virtuelle. Mais pour beaucoup de maîtres d’ouvrage, ce sera un gros problème, car on ne peut vraiment se représenter l’espace qu’en étant à l’intérieur… et même là, ma femme a parfois encore du mal à se projeter.
Car dans la construction « pierre sur pierre », je vois plutôt peu de possibilités d’automatisation déjà existantes aujourd’hui. Un robot à rainurer serait super, mais il faudrait qu’il puisse réaliser un étage entier entièrement de façon autonome. Et pour les tâches complexes comme tirer les câbles et les raccorder… je ne vois pas une machine capable de cela de sitôt…