Maschi33
27.11.2024 11:52:34
- #1
Les heures supplémentaires, d'accord. Mais tu renonces à une augmentation salariale constante parce que tu dois payer des impôts ? Vraiment ?
À la fin, tu devrais logiquement recalculer à quel point la progressivité devrait changer pour que l'économie d'impôt et l'augmentation brute soient à l'équilibre. Je ne connais personne qui fait ça.
D‘Accord. Je n'ai de toute façon jamais compris selon quelle logique le seuil du salaire minimum ne devrait pas aussi être le seuil d'exonération fiscale. Il y a quand même des cotisations sociales.
À partir d'un certain revenu, je devrais effectivement réfléchir sérieusement à échanger (plus) d'argent contre (plus) de temps, c'est-à-dire simplement réduire mon temps de travail. À un moment donné, pour moi, l'utilité marginale serait de toute façon atteinte. Nous, simples citoyens, ne deviendrons jamais riches par une activité salariée ici dans le pays, donc que je gagne aujourd'hui 150 000 € par an ou 200 000 € par an brut, cela ne ferait probablement plus de différence pour moi.
Ce qui m'agace vraiment, c'est la manière dont les impôts et les prélèvements des citoyens sont gérés dans notre pays. On n'a absolument pas l'impression que les politiciens gèrent l'argent avec discernement ou qu'ils budgétisent comme si c'était leur propre argent. Cette mentalité de prise en charge totale, qui prévaut aujourd'hui dans de nombreux ministères, a complètement dégénéré au cours de la législature. Tout le monde veut tout faire passer et, de préférence, ne rien renoncer, peu importe le coût. Au final, le gouvernement en a éclaté et le (mauvais) perdant est rapidement désigné. C'est bien sûr une manière très simple de faire les choses.