Comparer l'arrêt d'une subvention publique (même s'il est non annoncé) à un « pied de nez » me semble, pour le moins, inapproprié.
Investissez plutôt votre énergie et votre argent dans la planification et la construction, plutôt que dans un avocat et un combat juridique voué à l'échec.
...et réfléchissez encore une fois à votre démarche lors de la planification. Bien sûr, on peut attendre que l'entrepreneur général souhaité ait du temps, mais cela implique des risques (hausse des taux d'intérêt, suppression de la subvention, augmentation des prix) qui se sont malheureusement déjà manifestés chez vous.
Donc jouer la victime ici ne convient pas, si on est honnête...
D'une part, on nous demande de consacrer encore plus de temps à la planification et à la construction (cette dernière n'ayant pas encore commencé), et une phrase plus bas, on nous reproche déjà cela, ce qui amuse un peu.
Je ne voulais pas forcément m'étendre là-dessus, mais pour en finir une bonne fois pour toutes avec le sujet du « long » déroulement de notre planification : ce n'était pas seulement l'attente de l'entrepreneur général le seul et unique critère décisif, en plus d'un emploi à temps plein, nous avons lancé notre propre entreprise en 2019, la famille s'est agrandie de deux enfants et j'ai étudié à l'université en parallèle de mon travail. Ah oui, il fallait aussi trouver une solution de relogement pendant la période de construction et planifier la démolition d'un ancien bâtiment contaminé dans lequel nous vivions encore. Ah oui, il fallait aussi réaliser en même temps une estimation des travaux pour une rénovation optionnelle de la maison existante. Je ne sais pas si d'autres ont lancé une pièce pour leur projet de construction, mais chez nous, il y avait plusieurs choses à régler et à accomplir avant de pouvoir vraiment commencer. Les hausses de prix étaient omniprésentes depuis 2019 et constamment ajustées dans la planification roulante, je ne m'en plains pas, nous en étions conscients. En ce qui concerne la subvention, je reste sur mon avis initial et la manière de la gérer. Ce que tu en penses finalement est ton opinion que nous respectons. Quant à l'évaluation juridique du sujet, nous préférons laisser cela à un spécialiste.
On n'est une « victime » que lorsque l'on a déjà abandonné. Nous préférons le terme de plaignant lésé.