Allthewayup
06.04.2022 17:02:21
- #1
Je comprends ton mécontentement, mais désolé : vous planifiez joyeusement pendant 2,5 ans et soudainement ces 3 mois deviennent si existentiels que vous ne pouvez pas attendre ?
Je comprends le mécontentement, comme je l'ai dit, mais chacun devrait se rappeler que c'était un programme de subvention volontaire du gouvernement, pour atteindre certains objectifs. Rien de plus, rien de moins...
Merci pour la compréhension.
Nous voulions déjà commencer en 2021, mais il y a eu des circonstances chez le maître d'œuvre choisi qui nous auraient soit obligés à en chercher un nouveau et repartir de zéro, soit à attendre un an. Et comme il n'était pas une option pour nous de construire avec XY GmbH dont le siège est à Berlin, nous avons accepté cela aussi. Un fournisseur régional en 3e génération avec une réputation irréprochable et un projet de construction terminé juste à côté comme référence. On trouve rarement cela. Mais ce n’est pas vraiment la longue échéance qui compte au fond, c’était plus une idée.
Comme probablement connu de tous, durant ces 3 mois (janvier-mars), le taux d’intérêt a augmenté d’environ 100 % si l’on veut l’exprimer statistiquement. Vu la durée totale du prêt et les facteurs externes, ces 3 mois étaient donc effectivement cruciaux pour les décisions en si peu de temps.
Que certains voient cette subvention en général comme un caillou dans leur chaussure, puisqu'ils la financent tous en partie, me fait aussi comprendre un certain manque d’empathie sur ce sujet. Je parle ici de la population en général, pas de toi.
Oui, c’est bien volontaire, cela n’a jamais été remis en question. Mais pourquoi la fin de la subvention à 55 a-t-elle été annoncée longtemps à l’avance et pas celle à 40, alors qu’elles ont été arrêtées en même temps ? Pourquoi a-t-on dit que le budget était déjà largement dépassé au 24.01.2022, alors qu’en très peu de temps, des fonds supplémentaires ont pu être débloqués ? Pourquoi les standards étaient-ils limités séparément en termes de durée, mais pas en budget ? Si nous acceptons ce comportement du gouvernement, ne devons-nous plus non plus nous fier à notre avis de pension, parce qu’il est provisoire ? Où commence la fiabilité, où s’arrête-t-elle ? On se demande si l’arrêt du programme n’était pas arbitraire.
La responsabilité en cas de dysfonctionnements ou de manquements aux obligations secondaires est également en jeu. Celui qui distribue publiquement des aides n’a pas seulement des droits mais aussi des devoirs. Après tout, nous sommes dans un pays bureaucratique.