Eh bien, pour certains, « bonne journée » peut signifier la même chose que « amitiés ».
Ma copine, plutôt un tempérament sec, écrit toujours cela aussi [emoji4]
Je te donne raison, de loin, il est bien sûr difficile de juger et d’évaluer, puisque l’on n’a pas ici toutes les couches de communication (mimique, comportement, voix ...). On peut se tromper lourdement et un « bonne journée » était alors effectivement voulu comme tu le décris.
En tant que voisin écrivant un message, je serais un peu plus explicite et j’aurais probablement mis « je vous souhaite encore » avant « une bonne journée » - ou directement « amitiés », justement pour éviter les malentendus. Mais c’est vrai, avec une attitude suffisamment « négative », on pourrait aussi mal comprendre cela. Comme Hotzenplotz connaît un peu différemment le voisin, il peut sans doute le mieux juger cela.
On a toujours deux possibilités - comme on peut très bien le voir ici dans notre discussion. Peu importe..., [emoji2]
Là aussi, je suis entièrement d’accord avec toi. C’est pourquoi j’ai écrit sous 2. que je tenterais d’abord de découvrir où est le véritable problème, afin d’avoir une bonne base pour essayer de rétablir une bonne entente de voisinage. Si je ne l’avais pas écrit, c’était implicite dans l’ordre des propos. [emoji6]
Amical n’est pas non plus mon premier choix, car pour moi cela suggère une proximité qui n’est (pas encore) là et ce serait donc de l’esbroufe. Je le trouverais irrespectueux, et les personnes qui me jouent un rôle, je les considérerais avec la distance appropriée - ce qui serait ici peut-être contre-productif.
Peut-être voulais-tu dire par « amical » ce que je considérerais comme « détendu et normal », en opposition à « guindé et formel », ce qui selon moi peut rapidement être perçu comme professoral et hautain. Je parlerais simplement tout à fait normalement, dans un langage très banal, avec lui de manière amicale à propos de la chose et j’essaierais de comprendre où est vraiment le problème. Ce serait l’approche, en sachant qu’il existe aussi un type (3). Mais bien sûr, avec l’hypothèse de base que l’autre ne souhaite pas vraiment du mal, on va le plus loin dans de nombreux cas, mais pas dans tous.