Vrumfondel
21.12.2022 14:19:14
- #1
Comme le dit si bien 11ant en substance : « louer à l’unité n’est pas vraiment soumis à la taxe sur les plaisirs ». Même s’il s’agit là d’appartements annexes, je pense toujours que les millionnaires ne considèrent pas vraiment la maison individuelle comme un placement financier. Plus souvent, je connais des cas où la maison individuelle est acquise par héritage mais n’est pas utilisée par l’acquéreur lui-même, et pour diverses raisons, parfois sentimentales, on préfère alors louer plutôt que vendre. Ici dans la région du Siebengebirge, les maisons continuent de changer de mains, mais on remarque déjà que les prix n’atteignent plus le niveau d’il y a deux ou trois ans.
Encore une fois : peu de gens ici ont la maison de leurs rêves, mais personne non plus ne peut prétendre à l’ambiance 125 comme nous l’avons construite uniquement en fonction de son salaire. Et quant à savoir si tes arguments expliquant pourquoi la situation est ce qu’elle est sont justes, j’ai, comme quelques autres ici, de sérieux doutes à ce sujet.
Les banques sont, comme toutes les entreprises économiques, orientées vers le profit, et on peut sûrement philosopher longtemps sur l’étendue de cette « avidité ».
Concernant ta réflexion sur ton ami : si le crédit reste intéressant pour la banque à un taux mensuel plus faible, pourquoi n’a-t-on pas pu conclure directement à ce taux ? Où est le compromis du côté de l’intéressé qui utilise la même maison mais paie moins ? La banque a conclu le contrat de crédit en se basant sur le calcul de recevoir chaque mois le montant X en liquide. Si elle ne reçoit plus que par exemple la moitié de X, il est compréhensible qu’elle refuse d’accepter cela. Car on peut supposer que cette diminution du paiement durera durablement. Il n’est pas raisonnable de compter sur une augmentation dramatique des revenus ni sur l’entrée d’un deuxième emprunteur/remboursant. Alors, où est le compromis ?
C’est-à-dire que ce n’est même pas une question de saisie judiciaire, même un achat normal d’une « maison de divorce » serait immoral tant qu’au moins une personne aurait préféré rester dans la maison ?
Encore une fois : peu de gens ici ont la maison de leurs rêves, mais personne non plus ne peut prétendre à l’ambiance 125 comme nous l’avons construite uniquement en fonction de son salaire. Et quant à savoir si tes arguments expliquant pourquoi la situation est ce qu’elle est sont justes, j’ai, comme quelques autres ici, de sérieux doutes à ce sujet.
Les banques sont, comme toutes les entreprises économiques, orientées vers le profit, et on peut sûrement philosopher longtemps sur l’étendue de cette « avidité ».
Concernant ta réflexion sur ton ami : si le crédit reste intéressant pour la banque à un taux mensuel plus faible, pourquoi n’a-t-on pas pu conclure directement à ce taux ? Où est le compromis du côté de l’intéressé qui utilise la même maison mais paie moins ? La banque a conclu le contrat de crédit en se basant sur le calcul de recevoir chaque mois le montant X en liquide. Si elle ne reçoit plus que par exemple la moitié de X, il est compréhensible qu’elle refuse d’accepter cela. Car on peut supposer que cette diminution du paiement durera durablement. Il n’est pas raisonnable de compter sur une augmentation dramatique des revenus ni sur l’entrée d’un deuxième emprunteur/remboursant. Alors, où est le compromis ?
C’est-à-dire que ce n’est même pas une question de saisie judiciaire, même un achat normal d’une « maison de divorce » serait immoral tant qu’au moins une personne aurait préféré rester dans la maison ?