Dans tout ce cirque, dans lequel nous avons déjà depuis le début de l’année insisté inlassablement sur le problème de l’interception, l’architecte lui-même et plus tard également d’autres acteurs ont été impliqués dans le projet de construction du voisin, et tous ont eu l’audace de se laisser entraîner dans toute cette histoire. À aucun moment personne ne fait preuve de raison ou de délicatesse. On a insisté sur un droit qui n’en était pas un, sans jamais chercher à avoir une seule conversation avec nous.
Depuis août dernier, lorsque le voisin a été confirmé comme intéressé par le terrain, il y a eu de sa part une conversation avec tous les maîtres d’ouvrage de Riegel – et c’était la réunion de prise de contact. On ne s’est jamais adressé à nous ou du moins on ne nous a jamais informés de la manière et du moment où les travaux allaient être réalisés. C’était un chaos complet, qui nous a coûté plus de travail et de nerfs que nous n’aurions aimé…
…cela a abouti lundi à un désastre, lorsque l’on a simplement voulu se moquer de nous et nous enlever notre droit de propriété sur la maison neuve et chère, que nous n’avons pu gagner qu’à force d’efforts juridiques déterminés – sans parler des querelles sur le chantier, où l’on a encore essayé de nous ridiculiser.
Je prends cela maintenant totalement personnellement et ne ferai en aucun cas le moindre pas vers qui que ce soit – nous nous sommes toujours comportés de manière correcte et de bon voisinage – maintenant c’est fini aussi de notre côté.
Il a en tout cas la possibilité de faire appel de la décision ou de construire sans sous-sol.
Je ne voulais jamais en arriver là – mais parfois il faut tout simplement montrer douloureusement aux gens leurs limites, quand ils ne veulent pas les comprendre d’eux-mêmes.