Sinon, j'avais aussi fait examiner cette histoire du terrain plus en contrebas par un avocat : là encore, aucune chance d'obtenir quoi que ce soit, car une garantie des vices cachés est exclue dans le contrat - bon... de l'histoire ancienne.
Non, à mon avis c'est plutôt des bêtises venues des Pays-Bas. Un vice caché aurait été que le terrain vendu par un vendeur privé ait subi le fait que le raccordement se fasse "en surface". Ici, il s'agit de tout autre chose, que j'appellerais plutôt une "violation permanente du domicile" : la commune déverse une route devant le terrain (au passage : dans une mesure qui, à mon avis, constitue une modification du terrain soumise à autorisation et, comme elle n'est pas atténuée, nécessite aussi l'accord du voisin) ; qui plus est, ici, le
dommageable est en personne le vendeur du terrain. C’est-à-dire que le vendeur connaissait le désavantage imminent, il l’a même lui-même très probablement provoqué intentionnellement (car le but d’économiser des coûts justifie soi-disant les moyens).
Pas une dégradation survenue, mais un dommage provoqué. Je vois cela clairement d’ici, sans lunettes, que ton avocat n’est pas "Liebling Kreuzberg". Au minimum, son ami, le renard de procédure Dr Wolter, aurait donné une leçon à la commune ici.