Qu’en est-il des pollutions anciennes sur les terrains ?
Aucune. Au contraire, les sols sont excellents, comme le précise le motif du plan d’urbanisme :
Comme une autre possibilité de compensation (au moins partiellement) a également été examinée l’amélioration du sol sous forme d’apport de terre végétale. Cependant, ce type de compensation ne s’applique pas aux sols dont la fonction « fertilité naturelle du sol » correspond à une classe d’évaluation 3 ou 4. Les sols autour de la ville A correspondent, en ce qui concerne la fonction « fertilité naturelle du sol », en grande partie au moins à la classe d’évaluation 3 et ne sont donc guère valorisables.
On aurait pu être un peu méfiant avec « chaque propriétaire de RH peut faire ce qu’il veut sur son terrain, tant qu’il est le premier ».
Et quelle conclusion aurais-tu tirée de cela en tant que chercheur de terrain à bâtir « bon marché » ?
La planification est scandaleuse et la manière dont on traite les constructeurs en rajoute. Mais qui a le temps, l’argent et l’envie de se battre juridiquement pendant des années avec la commune où il souhaite continuer à vivre ?
après que les travaux de lotissement sont parfaitement dans les délais
S’il y a un calendrier, il doit bien y avoir un plan d’exécution. Personne ne l’a demandé ?
Le talus de la structure de la voirie se trouve-t-il sur votre terrain ?
Au moment de l’achat, y avait-il déjà un talus remblayé sur votre terrain ?
Y a-t-il une clause dans le contrat de vente concernant la tolérance du talus ?
Mis à part que je ne vois pas de lien entre la base juridique indiquée (§ 74 al. 2 n° 3 du code régional de la construction) et l’article 5 du règlement local de construction, ce dernier étant ambigüe et non précise, cela ne donne pas à lui seul le droit d’utiliser votre terrain (voir BVerwG 4 CN 5.08). Peut-être un point de départ pour un avocat spécialisé, ou au moins pour renforcer votre position de négociation.