Il n'est pas obligé légalement, mais à la fin cela ne sert à rien si l'entrepreneur général fait faillite parce qu'il s'est mal estimé. Et le maître d'ouvrage se retrouve alors avec une maison à moitié finie et mal faite. C'est toujours le maître d'ouvrage qui subit les pertes au final.
Et personne n'a besoin de vérifier le calcul exact, ce que le maître d'ouvrage ne peut d'ailleurs pas faire en tant que novice, mais on peut et on devrait vérifier, pour son propre bien, si les offres sont globalement dans la fourchette habituelle. Cela ne garantit rien, mais cela élimine au moins quelques cas impossibles.
Exact.
Mais si l'entrepreneur principal (n'a pas l'intention) de respecter le cahier des charges et les avenants avec coûts supplémentaires, alors tout cela est voué à l'échec dès le début.
Nous avons également subi les dégâts, malgré toutes les précautions. Et le prix était aussi élevé, correspondant à l'exécution. Il n'y avait pas d'anomalies.
Nous avions engagé un expert indépendant qui accompagnait la construction, qui a vérifié le calcul, l'exécution des travaux, si les indications dans le cahier des charges étaient même réalistes, et qui a vu très tôt à un certain moment où tout cela menait.
Dans notre cas, des artisans déjà lésés plus tôt ont découvert où l'entrepreneur principal construit actuellement, à environ 40 km de son ancien lieu, d'anciens et actuels maîtres d'ouvrage lésés se sont regroupés et vont aussi chez le même avocat.