Voki1
09.04.2015 12:07:49
- #1
"pacta sunt servanda" = Les contrats doivent être respectés. Cela vaut d'ailleurs aussi lorsque l'on a convenu quelque chose de défavorable pour soi.
Là, ça commence à devenir délicat. Sans vouloir agiter le doigt : pourquoi signe-t-on un tel contrat si l'accord réel ne doit pas y figurer et qu'à la place, un autre accord doit être inscrit ? Rien que la discussion sur la modification de la formulation aurait théoriquement dû vous "sauter au visage". Bref, ce qui a été convenu dans le contrat est donc probablement la réserve de financement.
Si les faits se sont déroulés comme tu l'as décrit ici, tu dois pouvoir l'étayer de manière fiable. Il est probable que le vendeur ET l'intermédiaire affirmeront totalement le contraire, ce qui pourrait être problématique si tu ne peux pas prouver ta version.
C'est également vrai. Il entend cependant uniquement la réserve de financement, même s'il l'a expliqué de façon détournée.
Puis-je demander pourquoi vous avez alors conclu un contrat de prestations pour la construction d'une maison d’habitation ? Vous a-t-on proposé un "prix d'aubaine" ou avez-vous subi une pression notable pour signer ce contrat ? Comment cela s’est-il déroulé ?
Compréhensible.
Bon, si l'intermédiaire peut conclure un contrat, il se peut que certaines "ententes" aient été confirmées oralement, mais ne se retrouvent plus par écrit et sont ensuite contestées. C'est même assez fréquent.
Je peux même comprendre cela. Bien sûr, cela dépend aussi des efforts et des charges que le contractant a déjà dû couvrir. La deuxième phrase avec le crédit est bien formulée, d’autant plus qu’il n’y aurait probablement aucune situation dans la mise en œuvre de la première phrase qui mènerait à la deuxième. En tout cas, la confiance mutuelle ne pourra sans doute plus se rétablir de façon à ce qu’une telle configuration contractuelle puisse encore se présenter.
C’est assurément ce que je signerais tout de suite. La première phrase vaut TOUJOURS, et la deuxième ici aussi, avec une recommandation d’action assez rapide. Ne plus rien écrire soi-même ni téléphoner davantage. Aller directement chez un avocat et réagir correctement. Souvent, l’intervention d’un avocat est la clé de l’accord.
Selon le vendeur de la maison ou l'intermédiaire du fournisseur, nous pourrions sortir du contrat si nous ne trouvons pas de terrain avant la date fixée dans le contrat. Cependant, il ne voulait pas que la clause "Réserve terrain" figure dans le contrat. À la place, il y a écrit "Réserve de financement" dans le contrat.
Là, ça commence à devenir délicat. Sans vouloir agiter le doigt : pourquoi signe-t-on un tel contrat si l'accord réel ne doit pas y figurer et qu'à la place, un autre accord doit être inscrit ? Rien que la discussion sur la modification de la formulation aurait théoriquement dû vous "sauter au visage". Bref, ce qui a été convenu dans le contrat est donc probablement la réserve de financement.
Si les faits se sont déroulés comme tu l'as décrit ici, tu dois pouvoir l'étayer de manière fiable. Il est probable que le vendeur ET l'intermédiaire affirmeront totalement le contraire, ce qui pourrait être problématique si tu ne peux pas prouver ta version.
Le vendeur disait à l'époque que c'était courant dans le secteur.
C'est également vrai. Il entend cependant uniquement la réserve de financement, même s'il l'a expliqué de façon détournée.
Le problème est que nous n'avions pas trouvé de terrain de notre choix (après 6 mois de recherche).
Puis-je demander pourquoi vous avez alors conclu un contrat de prestations pour la construction d'une maison d’habitation ? Vous a-t-on proposé un "prix d'aubaine" ou avez-vous subi une pression notable pour signer ce contrat ? Comment cela s’est-il déroulé ?
Le siège du fournisseur nous a reproché d’essayer de présenter le vendeur comme un menteur.
Compréhensible.
Ils disaient qu'il ne pouvait pas avoir dit que nous pourrions aussi simplement sortir du contrat si nous ne trouvions pas de terrain avant la date indiquée.
Bon, si l'intermédiaire peut conclure un contrat, il se peut que certaines "ententes" aient été confirmées oralement, mais ne se retrouvent plus par écrit et sont ensuite contestées. C'est même assez fréquent.
Ils insistent pour obtenir leur indemnité de 20 000 euros ! En plus, ils ont dit que si nous voulions construire avec eux à l’avenir, ces 20 000 euros nous seraient crédités.
Je peux même comprendre cela. Bien sûr, cela dépend aussi des efforts et des charges que le contractant a déjà dû couvrir. La deuxième phrase avec le crédit est bien formulée, d’autant plus qu’il n’y aurait probablement aucune situation dans la mise en œuvre de la première phrase qui mènerait à la deuxième. En tout cas, la confiance mutuelle ne pourra sans doute plus se rétablir de façon à ce qu’une telle configuration contractuelle puisse encore se présenter.
C’est pourquoi il faut toujours vérifier (faire vérifier) très attentivement ce que l’on signe. Seul un avocat pourra aider ici.
C’est assurément ce que je signerais tout de suite. La première phrase vaut TOUJOURS, et la deuxième ici aussi, avec une recommandation d’action assez rapide. Ne plus rien écrire soi-même ni téléphoner davantage. Aller directement chez un avocat et réagir correctement. Souvent, l’intervention d’un avocat est la clé de l’accord.