Offre de défense, ou les prix des maisons sont-ils devenus si chers ?

De quel sujet parles-tu ?

L'augmentation absurde des valeurs patrimoniales ? Cela peut sans doute être attribué à la politique de taux zéro sur laquelle nous n'avons (malheureusement) aucune influence... mais qui pourrait quand même nous retomber dessus.

Ou l'idée romantique - et souvent déconnectée de la réalité - que les générations suivantes restent sur place et reprennent la maison familiale ? Souvent avec un retard de rénovation. Dans mon entourage, je vois les deux variantes : des parents raisonnables qui s'en occupent à temps. Mais aussi le contraire exact avec les maisons classiques beaucoup trop grandes qui se dégradent avec les années. Je me promets fermement d'appartenir plus tard à la première catégorie... mais qui sait si un jour la senilité ne me frappera pas.

Juste comme ça... Les petits-enfants ont une franchise de 200 000

On pourrait régler ça : ton père vend de son vivant et te transmet ta part évaluée à la valeur d'il y a dix ans. Ou bien ta sœur se "sacrifie".

Tu veux manger le gâteau et le garder en même temps - c'est le problème.

Comme je l'ai dit, un fiscaliste. Cela me surprendrait que vous deviez payer un seul euro d'impôts réels.

Je voulais plutôt dire que les propriétaires des maisons dans les villes ne sont pas ceux qui y habitent, mais des investisseurs quelconques qui font monter les prix sans pitié. Qu’il y ait une ou deux maisons là-bas importe peu.

Régionalement, cela entraîne effectivement des changements sociaux majeurs : sur les îles frisones par exemple, les héritiers ne peuvent pas garder la maison héritée et doivent la vendre – les îles tombent ainsi entre les mains des investisseurs, l’espace vital pour les locaux et les travailleurs diminue, les belles maisons restent vides. Les entreprises trouvent de moins en moins de personnel ou ne peuvent plus payer de logements pour leur personnel. L’entreprise ferme. Sylt par exemple saigne déjà sous la surface brillante de la presse. De nombreux commerces nécessaires ne sont plus implantés sur l’île. Cela n’importe pas aux investisseurs, mais ce n’est pas le cas de la vie insulaire.