Une simulation 3D raisonnable nous a d’ailleurs été réalisée sans demande par notre poêlier, déjà un peu plus âgé, du plus profond Kreis Lahn-Dill
Charmant. Mais aussi un bel exemple illustratif du thème « Distorsion » : la position du puits de lumière de « l’espace d’air » par rapport à la cheminée ne semble pas être la même sur les deux images.
que certains programmes 3D (surtout les gratuits ou bon marché) déforment parfois ou affichent mal. Pourtant, je suis convaincu que cela aide beaucoup de personnes, comme par exemple le TE, à mieux évaluer les dimensions des pièces, les distances et les proportions.
À mes yeux, c’est une contradiction – avec une représentation déformée on ne peut logiquement pas améliorer l’évaluation des perspectives, mais seulement programmer des déceptions. C’est justement le dyslexique des proportions et de la perspective qui dépend que l’image soit fiable. Je critique par ailleurs dans ces représentations « 3D » qu’on peut y « voir » des perspectives irréelles : comment suis-je censé m’informer sur l’effet de ma maison, si on la considérait assis sur la tête de la cheminée de la maison suivant la prochaine et en la radiographiant à travers la maison voisine ?
Mais cela correspond à la compétence médiatique dégénérée des jeunes d’environ vingt ans d’aujourd’hui, qui confondent des mensonges audacieux en couleurs et en son surround avec des « Vérités » :-(
Pourquoi cela serait-il problématique ? Ce n’est de toute façon que l’étape finale, non, lorsque le GU est terminé ? L’escalier n’a pas non plus de revêtement.
Je te souhaite donc déjà beaucoup de plaisir !
Nous voulons aussi essayer. Mais tu dois prendre en compte ou informer ton GU que l’enduit est plus fin qu’un carrelage.
C’est pourquoi je vois là une caractéristique d’équipement, plutôt destinée à des maîtres d’ouvrage au statut « Advanced » et non à des personnes comme le TE au stade « Greenhorn » (plus précisément : Pre-Greenhorn).
Je vois déjà ici la sortie posée trop bas, donnant dans le revêtement adjacent ; la jointure dans un fil de défauts et comme « solution » ensuite fraisée et siliconée … et tout cela parce que pour la maîtresse d’ouvrage un cauchemar doit être parfait. Seigneur, envoie du cerveau du ciel !
Composer une maison de designer en tant que maîtresse d’ouvrage « primo-accouchante » à partir d’une maison GU dégradée en « gros œuvre plus » avec des expérimentations de travaux en auto-exécution combinés va mal tourner. Le mieux serait que le TE vende ce fiasco (y compris les droits cinématographiques pour un scénario basé sur ce fil) à la télévision privée et construise ensuite à nouveau avec sa prime (mais alors une Jette vraiment clé en main inchangée). Ulrich Wickert aurait dit : « le temps. »