Tolentino
25.02.2021 14:25:11
- #1
J’avais décrit cela un peu plus en détail plus haut, voici maintenant la version très courte. L’agent immobilier a mis en jeu l’entreprise de construction parce qu’il la connaît et que c’était déjà dessiné pour le voisin arrière. Cependant, l’agent immobilier exerçait une pression temporelle immense et avait x autres intéressés (le fait qu’il y ait des intéressés était certain, la pression temporelle dépendait, je le sais aujourd’hui, surtout de son mandat exclusif qui arrivait à expiration). J’avais alors besoin pour le financement d’une liste des coûts de construction tamponnée et, après plusieurs entretiens avec le commercial du maître d’œuvre, j’ai signé sans avoir auparavant soumis le contrat à un avocat ni même à un conseiller des maîtres d’ouvrage. Avec le recul, peut-être une erreur.
Il est bien sûr possible que l’avocat sente de l’argent gagné facilement. Cependant, pour chaque affaire importante allant au-delà du conseil et de la correspondance, il doit faire une demande de couverture séparée auprès de la RS. En ce sens, il ne sera pas rentable de traiter chaque petite affaire maintenant. Je lui ai aussi déjà dit qu’une négociation ou même une procédure de preuve ne sont de toute façon pas envisageables du fait de la durée.
Non, c’est presque partout que les recouvrements n’ont pas été respectés. Par conséquent, la répartition des forces horizontales ne fonctionne plus dans la couche. Sans autres mesures, cela entraînera des fissures (selon l’expert). La spécialiste en structures doit en outre confirmer qu’avec un enduit à armature textile et un renforcement de l’enduit cela ne se produira pas.
L’avocat pense que je devrais en tout cas déjà exiger la retenue de garantie conformément au code de la construction. Jusqu’à présent, je m’en suis abstenu parce que d’une part la dernière échéance après réception est de toute façon de 10 %, d’autre part dans le contrat du maître d’œuvre il souhaite exercer son droit à une caution de substitution et en retour exige une caution de ma banque sur l’ensemble du montant du contrat (ce qu’il n’a pas encore fait jusqu’à présent). Ma supposition était qu’en cas de doute c’est un mauvais marché, car je peux de toute façon retenir les derniers 10 % si quelque chose survient et s’il a la caution de ma banque sur tout, il peut en cas de doute exiger tout directement de ma banque sans que je doive donner de décharge supplémentaire. L’avocat doit maintenant déterminer si j’ai raison dans mes préoccupations ou s’il vaut mieux malgré tout exiger une caution. Et aussi éventuellement négocier la prolongation de la garantie/retenue de garantie.
Les maçons ne voient même pas l’enduit (autre entreprise). Mais oui, les contrôles urinaires sont désormais au programme.
Il est bien sûr possible que l’avocat sente de l’argent gagné facilement. Cependant, pour chaque affaire importante allant au-delà du conseil et de la correspondance, il doit faire une demande de couverture séparée auprès de la RS. En ce sens, il ne sera pas rentable de traiter chaque petite affaire maintenant. Je lui ai aussi déjà dit qu’une négociation ou même une procédure de preuve ne sont de toute façon pas envisageables du fait de la durée.
Non, c’est presque partout que les recouvrements n’ont pas été respectés. Par conséquent, la répartition des forces horizontales ne fonctionne plus dans la couche. Sans autres mesures, cela entraînera des fissures (selon l’expert). La spécialiste en structures doit en outre confirmer qu’avec un enduit à armature textile et un renforcement de l’enduit cela ne se produira pas.
L’avocat pense que je devrais en tout cas déjà exiger la retenue de garantie conformément au code de la construction. Jusqu’à présent, je m’en suis abstenu parce que d’une part la dernière échéance après réception est de toute façon de 10 %, d’autre part dans le contrat du maître d’œuvre il souhaite exercer son droit à une caution de substitution et en retour exige une caution de ma banque sur l’ensemble du montant du contrat (ce qu’il n’a pas encore fait jusqu’à présent). Ma supposition était qu’en cas de doute c’est un mauvais marché, car je peux de toute façon retenir les derniers 10 % si quelque chose survient et s’il a la caution de ma banque sur tout, il peut en cas de doute exiger tout directement de ma banque sans que je doive donner de décharge supplémentaire. L’avocat doit maintenant déterminer si j’ai raison dans mes préoccupations ou s’il vaut mieux malgré tout exiger une caution. Et aussi éventuellement négocier la prolongation de la garantie/retenue de garantie.
Les maçons ne voient même pas l’enduit (autre entreprise). Mais oui, les contrôles urinaires sont désormais au programme.