Hausbau2019
11.08.2019 09:55:26
- #1
Nous sommes mentalement épuisés, car l’entreprise de construction xxx nous mène tellement en bateau que c’est devenu insupportable.
Le contrat de construction a été signé le 16.05.2018 pour la construction d’une maison individuelle avec appartement annexe et sous-sol étanche au prix forfaitaire garanti de 474 000 €.
Dès le creusement de la fouille, des problèmes sont survenus. Un employé de la BG Bau a constaté lors de ses 3 visites sur le chantier de graves violations de la sécurité et a ordonné à plusieurs reprises une interruption des travaux. Par exemple, il n’y avait pas de protection de chantier suffisante et l’angle de la pente n’était pas conforme aux exigences.
D’énormes quantités de terre excavée (1100 tonnes) ont également été évacuées et la facture d’environ 17 000 € pour l’élimination m’a été présentée, alors qu’il manquait environ 500 tonnes pour le remblaiement.
Après que l’employé de la BG Bau ait signalé pour la deuxième fois l’angle insuffisant de la pente, une pente à 40 degrés a été créée au lieu des 60 degrés demandés. Cela a entraîné une énorme fouille surdimensionnée. De ce fait, les vieux déchets de construction ont été extraits, alors qu’avec une pente à 60 degrés, ils seraient restés dans le sol.
Après la construction du rez-de-chaussée, d’autres problèmes sont apparus. Le directeur général de l’entreprise de construction engagée a déclaré que, pour des raisons de statique, des murs massifs devaient être construits à l’étage sous les combles au lieu de cloisons sèches. Il a d’abord chiffré les surcoûts à près de 1000 €, puis deux jours plus tard, ils s’élevaient à 3802 €, car il avait oublié une poutre lors du premier calcul. S’y ajoutait une modification qu’il jugeait nécessaire dans le grenier d’environ 1400 € de surcoût. Je lui ai alors dit que nous n’étions pas prêts à payer ces surcoûts, car ces modifications ne résultaient pas de souhaits des maîtres d’ouvrage et que la statique avait été calculée par une architecte qu’il avait elle-même engagée.
Le 27.11.2018, j’ai écrit un mail à M. xxx pour lui demander de respecter notre contrat de construction et de terminer la maison au prix forfaitaire garanti.
Le 8.12.2018, un rendez-vous a eu lieu dans le bureau de M. xxx. J’y ai évoqué les défauts constatés jusqu’alors.
Lors de la réunion, on nous a encore dit qu’il était impossible que le sous-sol dépasse trop loin. J’avais cependant des photos qui disaient le contraire. Le même après-midi, M. xxx m’a appelé, il était sur le chantier, avait pris des mesures et a dû admettre que le sous-sol dépassait d’environ 10 cm, ce qui valait bien sûr aussi pour les puits de lumière et le perron d’entrée.
Mais au lieu d’admettre cette erreur, il a affirmé que c’était une bonne chose pour nous, car l’eau de pluie s’écoulerait mieux. Comme tout cela devenait trop pour moi, j’avais entre-temps fait appel à un conseiller en construction.
Lorsque j’étais avec lui sur le chantier le 12.12.2018, il est arrivé juste à temps pour empêcher que la dalle du rez-de-chaussée soit coulée sans chaînage. Le béton avait été commandé pour 10h00, nous étions sur place à 9h45 et les ouvriers faisaient une pause en attendant le béton. Ils avaient oublié le chaînage.
Après le coulage de la dalle du rez-de-chaussée, les travaux devaient continuer en semaine 2 de 2019. C’est ce dont nous avions également convenu lors d’une autre réunion le 17.12.2018, à laquelle notre conseiller en construction a également participé. Nous avons convenu de retenir 7 500 € sur la dernière facture de 47 500 € au titre de réserve jusqu’à la clarification et la réparation des défauts. Cela a été confirmé par M. xxx.
Cependant, M. xxx n’avait apparemment plus l’intention de poursuivre les travaux à ce moment-là. Après que nous avons versé les 40 000 €, nous avons immédiatement reçu une notification d’empêchement indiquant que les travaux ne pouvaient se poursuivre en raison des basses températures. La lettre était datée du 17.12.18, date de la réunion de l’après-midi. Notre conseiller en construction a rejeté cette notification par écrit, au motif qu’il n’y avait pas de températures négatives.
Les travaux n’ont pas repris en semaine 2 ni plus tard. Au lieu de cela, le chantier a été entièrement déblayé à la mi-janvier et l’échafaudage démonté. J’ai depuis fait appel à un avocat. M. xxx n’a pas répondu aux courriers de notre avocat. Lorsque notre avocat l’a appelé le 29.01.2019, il a répondu qu’il ne travaillerait plus sur ce chantier. Il ne résilie pas le contrat de construction, mais nous devons le faire.
Nous avons alors porté plainte devant le tribunal régional de Leipzig. Sur le conseil de mon avocat, nous réclamons l’achèvement de l’ouvrage. M. xxx a également engagé une avocate depuis la signification de la plainte. Notre avocat s’efforce depuis début mai d’obtenir un accord à l’amiable, estimant que c’est la seule façon pour nous de voir notre maison terminée dans un délai raisonnable et à coût prévisible, car nous avons déjà payé près de 200 000 € à M. xxx, alors que la valeur estimée ne dépasse guère 120 000 €. Sans parler des nombreux défauts existants. J’ai fait appel à un expert qui a constaté d’autres défauts. Par exemple, dans le sous-sol étanche, les murs extérieurs sont imbibés d’eau sur une hauteur allant jusqu’à 72 cm, les cloisons intermédiaires également. La maçonnerie en béton cellulaire présente généralement des joints beaucoup trop larges, à la couche de briques la plus basse, certaines briques ont été raccourcies de 36,5 cm à seulement 20 cm, en plus du fait que notre sous-sol dépasse de 10 cm hors du sol, il est aussi 10 cm plus large que le rez-de-chaussée qui se trouve dessus, car l’isolation n’a pas été prise en compte et dépasse, toutes les connexions d’évacuation des eaux usées ainsi que les canalisations des eaux usées doivent être refaites, le sol autour de la maison doit être remplacé sur une largeur de 1,50 m jusqu’au fond du sous-sol, l’étanchéité entre la dalle du sous-sol et la maçonnerie est insuffisante, etc. Le coût de la remise en état selon l’expert est d’environ 22 000 €.
L’audience a lieu le 02.10.2019. Nous obtiendrons sûrement raison devant le tribunal et gagnerons. Du moins, c’est ce que je suppose. Mais à quoi cela sert-il, si M. xxx, comme je l’ai entendu dire, prépare sa faillite. De plus, il a fait inscrire une deuxième entreprise à son nom le 11.07.2019, également en tant qu’entreprise de construction. Comme nous lui avons déjà trop payé 80 000 €, que nous avons des frais d’avocat et de justice de 20 000 €, des coûts pour la remise en état d’environ 22 000 €, que les frais d’expert et de supervision du chantier sont encore à régler, que la banque prélève depuis juin 500 € par mois d’intérêts de mise à disposition de crédit, que l’achèvement avec une « entreprise de remplacement » sera encore coûteux, nous n’avons plus aucun espoir de pouvoir mener à bien notre projet de construction. Notre avocat a demandé un report de l’audience, mais il a été refusé pour cause de surcharge.
Quelqu’un peut-il me conseiller sur ce que je peux encore faire ? Il ne peut pas être possible que nous devions rester là à regarder M. xxx financer sa nouvelle entreprise avec notre argent, tandis que chez nous tout part à vau-l’eau.
Le contrat de construction a été signé le 16.05.2018 pour la construction d’une maison individuelle avec appartement annexe et sous-sol étanche au prix forfaitaire garanti de 474 000 €.
Dès le creusement de la fouille, des problèmes sont survenus. Un employé de la BG Bau a constaté lors de ses 3 visites sur le chantier de graves violations de la sécurité et a ordonné à plusieurs reprises une interruption des travaux. Par exemple, il n’y avait pas de protection de chantier suffisante et l’angle de la pente n’était pas conforme aux exigences.
D’énormes quantités de terre excavée (1100 tonnes) ont également été évacuées et la facture d’environ 17 000 € pour l’élimination m’a été présentée, alors qu’il manquait environ 500 tonnes pour le remblaiement.
Après que l’employé de la BG Bau ait signalé pour la deuxième fois l’angle insuffisant de la pente, une pente à 40 degrés a été créée au lieu des 60 degrés demandés. Cela a entraîné une énorme fouille surdimensionnée. De ce fait, les vieux déchets de construction ont été extraits, alors qu’avec une pente à 60 degrés, ils seraient restés dans le sol.
Après la construction du rez-de-chaussée, d’autres problèmes sont apparus. Le directeur général de l’entreprise de construction engagée a déclaré que, pour des raisons de statique, des murs massifs devaient être construits à l’étage sous les combles au lieu de cloisons sèches. Il a d’abord chiffré les surcoûts à près de 1000 €, puis deux jours plus tard, ils s’élevaient à 3802 €, car il avait oublié une poutre lors du premier calcul. S’y ajoutait une modification qu’il jugeait nécessaire dans le grenier d’environ 1400 € de surcoût. Je lui ai alors dit que nous n’étions pas prêts à payer ces surcoûts, car ces modifications ne résultaient pas de souhaits des maîtres d’ouvrage et que la statique avait été calculée par une architecte qu’il avait elle-même engagée.
Le 27.11.2018, j’ai écrit un mail à M. xxx pour lui demander de respecter notre contrat de construction et de terminer la maison au prix forfaitaire garanti.
Le 8.12.2018, un rendez-vous a eu lieu dans le bureau de M. xxx. J’y ai évoqué les défauts constatés jusqu’alors.
Lors de la réunion, on nous a encore dit qu’il était impossible que le sous-sol dépasse trop loin. J’avais cependant des photos qui disaient le contraire. Le même après-midi, M. xxx m’a appelé, il était sur le chantier, avait pris des mesures et a dû admettre que le sous-sol dépassait d’environ 10 cm, ce qui valait bien sûr aussi pour les puits de lumière et le perron d’entrée.
Mais au lieu d’admettre cette erreur, il a affirmé que c’était une bonne chose pour nous, car l’eau de pluie s’écoulerait mieux. Comme tout cela devenait trop pour moi, j’avais entre-temps fait appel à un conseiller en construction.
Lorsque j’étais avec lui sur le chantier le 12.12.2018, il est arrivé juste à temps pour empêcher que la dalle du rez-de-chaussée soit coulée sans chaînage. Le béton avait été commandé pour 10h00, nous étions sur place à 9h45 et les ouvriers faisaient une pause en attendant le béton. Ils avaient oublié le chaînage.
Après le coulage de la dalle du rez-de-chaussée, les travaux devaient continuer en semaine 2 de 2019. C’est ce dont nous avions également convenu lors d’une autre réunion le 17.12.2018, à laquelle notre conseiller en construction a également participé. Nous avons convenu de retenir 7 500 € sur la dernière facture de 47 500 € au titre de réserve jusqu’à la clarification et la réparation des défauts. Cela a été confirmé par M. xxx.
Cependant, M. xxx n’avait apparemment plus l’intention de poursuivre les travaux à ce moment-là. Après que nous avons versé les 40 000 €, nous avons immédiatement reçu une notification d’empêchement indiquant que les travaux ne pouvaient se poursuivre en raison des basses températures. La lettre était datée du 17.12.18, date de la réunion de l’après-midi. Notre conseiller en construction a rejeté cette notification par écrit, au motif qu’il n’y avait pas de températures négatives.
Les travaux n’ont pas repris en semaine 2 ni plus tard. Au lieu de cela, le chantier a été entièrement déblayé à la mi-janvier et l’échafaudage démonté. J’ai depuis fait appel à un avocat. M. xxx n’a pas répondu aux courriers de notre avocat. Lorsque notre avocat l’a appelé le 29.01.2019, il a répondu qu’il ne travaillerait plus sur ce chantier. Il ne résilie pas le contrat de construction, mais nous devons le faire.
Nous avons alors porté plainte devant le tribunal régional de Leipzig. Sur le conseil de mon avocat, nous réclamons l’achèvement de l’ouvrage. M. xxx a également engagé une avocate depuis la signification de la plainte. Notre avocat s’efforce depuis début mai d’obtenir un accord à l’amiable, estimant que c’est la seule façon pour nous de voir notre maison terminée dans un délai raisonnable et à coût prévisible, car nous avons déjà payé près de 200 000 € à M. xxx, alors que la valeur estimée ne dépasse guère 120 000 €. Sans parler des nombreux défauts existants. J’ai fait appel à un expert qui a constaté d’autres défauts. Par exemple, dans le sous-sol étanche, les murs extérieurs sont imbibés d’eau sur une hauteur allant jusqu’à 72 cm, les cloisons intermédiaires également. La maçonnerie en béton cellulaire présente généralement des joints beaucoup trop larges, à la couche de briques la plus basse, certaines briques ont été raccourcies de 36,5 cm à seulement 20 cm, en plus du fait que notre sous-sol dépasse de 10 cm hors du sol, il est aussi 10 cm plus large que le rez-de-chaussée qui se trouve dessus, car l’isolation n’a pas été prise en compte et dépasse, toutes les connexions d’évacuation des eaux usées ainsi que les canalisations des eaux usées doivent être refaites, le sol autour de la maison doit être remplacé sur une largeur de 1,50 m jusqu’au fond du sous-sol, l’étanchéité entre la dalle du sous-sol et la maçonnerie est insuffisante, etc. Le coût de la remise en état selon l’expert est d’environ 22 000 €.
L’audience a lieu le 02.10.2019. Nous obtiendrons sûrement raison devant le tribunal et gagnerons. Du moins, c’est ce que je suppose. Mais à quoi cela sert-il, si M. xxx, comme je l’ai entendu dire, prépare sa faillite. De plus, il a fait inscrire une deuxième entreprise à son nom le 11.07.2019, également en tant qu’entreprise de construction. Comme nous lui avons déjà trop payé 80 000 €, que nous avons des frais d’avocat et de justice de 20 000 €, des coûts pour la remise en état d’environ 22 000 €, que les frais d’expert et de supervision du chantier sont encore à régler, que la banque prélève depuis juin 500 € par mois d’intérêts de mise à disposition de crédit, que l’achèvement avec une « entreprise de remplacement » sera encore coûteux, nous n’avons plus aucun espoir de pouvoir mener à bien notre projet de construction. Notre avocat a demandé un report de l’audience, mais il a été refusé pour cause de surcharge.
Quelqu’un peut-il me conseiller sur ce que je peux encore faire ? Il ne peut pas être possible que nous devions rester là à regarder M. xxx financer sa nouvelle entreprise avec notre argent, tandis que chez nous tout part à vau-l’eau.