Tu peux convenir que l’expert ne se présente pas face au maître d’œuvre.
Dans ce sens, je comprends aussi le poste de surcoût ...
Éventuels surcoûts liés à la collaboration avec un expert externe (chronophage, documentation, etc.) 2000-4000€ !!!
... pas en rapport avec l’expert lui-même, mais spécifiquement parce qu’il faut travailler avec lui.
Je peux tout à fait comprendre le point de vue du maître d’œuvre et le trouve simplement peu avisé : parce que le donneur d’ordre est soit consterné, soit pense que le maître d’œuvre craint un contrôleur qualifié.
Cependant, il existe actuellement une "génération" de maîtres d’ouvrage qui, pour parler franchement, ne sont pas des plus agréables : des maniaques du millimètre s’alliant dans les forums, qui piétinent le chantier avec une attitude de client avisé. Des rats de bureau incapables d’imaginer que la chape, l’enduit & Co ne se mesurent pas en onces fines, et qui confondent les dimensions des murs, des ouvertures murales et des pièces, données "précises" au demi-centimètre, avec des tolérances de fabrication strictes. On ne pose pas des briques avec la pince d’un philatéliste - même si le roi maître d’ouvrage s’imagine avoir lu cela dans sa description des prestations de construction. Quand on va chez l’avocat pour un écart de 4 cm entre des spots de plafond d’un auvent de porte d’entrée, "maçon" cesse d’être un métier pour de vrais hommes.