Il manque principalement la compatibilité des positions juridiques des deux parties, c’est-à-dire une "perspective d’espoir" pour un compromis. En tout cas au niveau des avocats – un arbitre ou un juge pourrait néanmoins proposer un compromis.
Oui, mais peut-être pourrait-on viser rapidement un compromis avec un nouveau accord aux positions plus réalistes (paiement intégral du prix d’achat, renonciation à la pénalité de retard en échange d’une reprise immédiate des travaux et de la correction des défauts), car sinon la proposition de compromis ne sera faite qu’en octobre devant le tribunal, et il faudra encore plusieurs mois pour qu’elle soit acceptée. Avec une nouvelle pause hivernale.
Je vois les choses ainsi : soit on reste ferme, mais alors l’emménagement aura lieu au printemps 2021, soit on cède, mais avec un emménagement début 2020. On économise beaucoup de loyer, de frais de mise à disposition, de frais juridiques et de stress. Le prix serait "seulement" notre propre fierté et nos envies de vengeance, que nous avons espérons-nous pu atténuer.