Le marché immobilier oblige-t-il de plus en plus de familles à construire ?

On dit : Le diable fait toujours caca sur le plus gros tas.
Il faut d'abord réussir à le faire celui-là.
Mais si tu as rien à croquer, t'as rien à c...
Le développement laisse à trop de gens trop peu à croquer.
Pendant ce temps, celui qui a sérieusement à croquer paye pour les revenus du capital un impôt comparativement ridicule de 25 %.
D'un point de vue purement financier, il est rentable d'acheter plusieurs biens immobiliers, de les louer et de vivre soi-même en location. La charge est gérable grâce aux loyers perçus et à partir de 10 unités d'habitation, le risque d'impayés ne joue plus un rôle important. Le risque d'inflation est éliminé. Il ne serait pas conseillé de tout mettre dans la même forme d'investissement.
Ce n'est pas ma vie. Je ne suis pas fâché pour autant.

En réalité, nous préférerions ne pas construire. Malheureusement, les biens existants dans un rayon de 20 km sont devenus assez chers et les immeubles locatifs abordables avec un petit jardin manquent tout simplement.

Jusqu'à présent, nous habitons dans un ancien appartement en location sans jardin. Nous aimerions changer cela, mais l’offre fait défaut. Les annonces de recherche sur divers portails sont surchargées de familles souhaitant se loger à un prix abordable.

Qui connaît cette situation et comment la gérez-vous ?

Nous connaissons bien cela. Je n’ai jamais voulu, jamais, jamais construire non plus. Nous avons visité suffisamment de maisons libres en 5 ans, mais pour nous, simples amateurs en bricolage, une seule convenait, et malgré un prix élevé, elle est partie très vite. Et pour les biens abordables, il y avait toujours à la fin trop de compromis à accepter (état, emplacement, etc.). Les perles du marché sont de toute façon vendues à 99 % sous le manteau. Sans contacts, aucune chance.
À un moment donné, il ne reste plus d’autre choix que de se pencher sur le sujet de la construction.
Je crois aussi que, si on se renseigne dans les nouveaux quartiers, on entendra souvent que, en fait, on n’avait pas vraiment envie d’être ici.

Beaucoup sous-estiment le travail qu'une maison peut demander. Certains sont heureux parce qu'ils aiment bricoler et travailler. C'est super.

Mais il y a aussi beaucoup de gens qui ont deux mains gauches et ont besoin d'un artisan coûteux pour tout. Ou simplement pas envie ni temps de s'occuper de la maison pendant le week-end. Il ne faut pas sous-estimer cela. Et ces personnes sont de plus en plus contraintes par l'évolution du marché à construire. Parce que cela peut parfois être une option économique. Au début.

Ce que beaucoup oublient, c'est aussi de constituer des réserves nécessaires pour la maison. Des experts recommandent 1-2 €/m². Le deuxième loyer en quelque sorte.

Les perles sur le marché se vendent de toutes façons à 99 % en off. Sans contacts, aucune chance.

Je souhaite intervenir ici, car est-ce vraiment le cas ? Un vendeur ne cherche-t-il pas à vendre au meilleur prix possible, sauf si c’est dans la famille ? Cela reviendrait donc à passer par un agent immobilier et/ou une annonce dans le journal hebdomadaire ou sur un portail internet.

Je ne crois pas que ce soit le cas. Beaucoup de vendeurs sont plus âgés et veulent quitter leur maison adorée parce qu’elle est trop grande, il faut changer. Les escaliers, le jardin deviennent trop pénibles, etc. On vend alors en famille - ou dans le cercle des connaissances. La maison doit aller entre de bonnes mains. On veut voir que la vie avec et dans cette maison continue. Nous avons vendu notre maison mitoyenne en 2016. À une cousine à un prix estimé du marché. Sans trop négocier. Est-ce que le prix aurait pu être plus élevé ? Peu importe, elle est heureuse, nous sommes heureux, notre vieille maison est entre de bonnes mains - et c’est tout. K.

c'est aussi le cas ici. de bons objets partent en douce.