Le marché immobilier oblige-t-il de plus en plus de familles à construire ?

  • Erstellt am 06.04.2019 11:35:44

Nordlys

09.04.2019 13:23:30
  • #1
Les petites réparations jusqu'à 100,- doivent également être effectuées par le locataire lui-même.
 

Yosan

09.04.2019 13:26:25
  • #2

Eh bien, alors on a de toute façon un "problème"
 

Nordlys

09.04.2019 13:27:46
  • #3
Oui, thierse doit appeler l'électricien lorsque l'ampoule est grillée.....
 

Dr Hix

09.04.2019 13:32:40
  • #4


Cela n'a rien à voir avec des "situations extrêmes". Par cette remarque, je faisais référence à des endroits où la "valeur" d'un bien immobilier est déterminée par le budget de l'enchérisseur le plus offrant. De tels cas d'achat ne seront jamais en quelconque (raisonnable) relation avec l'évolution générale des salaires.

Cela se produit certainement aussi en dehors des villes typiquement mentionnées dans ce genre de discussions, mais ce ne devrait pas être la règle là-bas, plutôt se limiter à des emplacements spécifiques.
Nous avons ici aussi un quartier résidentiel avec des prix du terrain dépassant les 600 €, mais cela ne signifie pas pour autant que quelqu'un puisse vendre son immeuble ancien à l'extérieur de ce quartier à partir de 500 000 €.
 

wurmwichtel

09.04.2019 14:50:58
  • #5
C’est exact. Pourtant, cela ne change rien au fait que celui qui a un revenu inférieur à la médiane ne peut généralement pas acheter de propriété car il a trop peu. La concurrence entre privé et commerce n’est pas tout à fait innocente dans cette affaire. Le reste est fait par le lobbying.

Comparé aux prix actuels, une maison brute construite selon l’ordonnance de 1995 sur les économies d’énergie coûterait environ la moitié. L’entretien pour le chauffage serait certes entre 70 et 100 % plus élevé, mais à quoi bon quand on met 50 000 € et plus contre 600 € par an ? Bilan écologique ? Oubliez ça ! Ça ne préoccupe pas le moins du monde les décideurs.

Je ne peux pas confirmer cela. Dans notre ancienne région (près de 180 000 habitants), nous aurions dû nous battre pour une place en crèche. À la campagne, on ne nous offrait certes pas la place sur un plateau, mais il n’était pas difficile de l’obtenir. Elle était aussi moins chère à l’époque parce que la commune, contrairement à la grande ville décrite, n’avait pas de prestataires privés de crèches.

On ne peut qu’appeler à l’initiative personnelle. Celui qui se contente bien sûr des moteurs de recherche sur Internet et tout au plus des annonces dans les journaux ne trouvera pas ainsi. Nous avons utilisé des géoportails pour trouver des terrains à bâtir en ville et nous y sommes allés voir si cela convenait. Ensuite, il fallait frapper aux portes des voisins et propriétaires.
 

Winniefred

09.04.2019 14:54:23
  • #6
C'est pareil ici - à la campagne autour de notre ville, il y a suffisamment de places en crèche. Parfois, des enfants de notre ville vont même en crèche dans les communes rurales parce qu'il n'y a rien à obtenir en ville. Une amie habite à 50 km de chez nous à la campagne (nous habitons déjà en périphérie) et dans leur crèche, il y a des enfants qui habitent dans ma ville. Je suppose cependant que les parents y travaillent aussi quelque part ou au moins à mi-chemin.
 
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