Le marché immobilier oblige-t-il de plus en plus de familles à construire ?

  • Erstellt am 06.04.2019 11:35:44

Nordlys

13.04.2019 14:58:59
  • #1
Sur le marché de l'occasion d'aujourd'hui, les immeubles anciens avec des fenêtres à petits carreaux, sans cuisines ouvertes, avec de grands halls d'entrée et bien sûr des radiateurs, se vendent à des prix élevés s'ils sont bien entretenus et s'ils ont une bonne substance. Et un bon emplacement. Les maisons ne sont pas des voitures. L'emplacement et l'atmosphère comptent plus que ceci ou cela en termes d'extras.
 

haydee

13.04.2019 15:06:30
  • #2
La technologie devient un jour obsolète. Est-ce que quelqu'un comptera dans 30 ans pour un système de maison intelligente installé aujourd'hui ?
 

wurmwichtel

13.04.2019 15:38:10
  • #3

Va à la bibliothèque la plus proche (c’est comme Wikipédia, mais accessible uniquement en version papier), prends des livres spécialisés de l’époque et consacre-les à ta lecture.
Le temps de travail était plus long mais la pression moindre. De même, la production par travailleur était bien moindre qu’aujourd’hui et donc la charge globale également, d’autant plus que la production exigeait toujours un savoir-faire artisanal, mais généralement pas de qualifications trans-sectorielles.
Celui qui pense qu’on peut généraliser cela à aujourd’hui n’a tout simplement pas d’idée de comment cela fonctionnait alors.

BTW :
L’action de l’humanité n’a pas progressé d’un millimètre ces 140 dernières années. Il s’agit toujours du profit maximal et de l’imposition de ses propres intérêts sans prendre en compte les conséquences pour les autres.
D’où vient la sagesse ? J’ai des livres de l’époque chez moi et j’ai lu la collection actuelle qui comprend environ 130 000 pages.
On peut en tirer beaucoup de conclusions.
 

Müllerin

13.04.2019 16:01:59
  • #4
[LQUOTE="wurmwichtel, post: 318464, member: 47806"]

L'agissement de l'humanité n'a pas progressé d'un millimètre au cours des 140 dernières années. Il s'agit toujours du profit maximal et de la défense de ses propres intérêts sans tenir compte des conséquences qui en découlent pour les autres.[/LQUOTE]

pour cela, il n'est pas nécessaire de lire 1000 pages, on s'en rend malheureusement compte tous les jours...
 

chand1986

13.04.2019 16:33:32
  • #5


Ma question était rhétorique. Ce que tu décris est juste, mais je n'ai pas besoin de le lire, je le vis dans le travail (presque) quotidien avec des gens.

Aujourd'hui, les gens doivent être plus compétents techniquement, penser de manière transversale et globale. En tant que salarié, cela va de soi. En tant que consommateur, l’homme doit être en même temps influençable, malléable, aliéné à lui-même.

Les deux en même temps ne fonctionnent pas, mais dans nos établissements de formation on forme surtout pour le second. En conséquence, les gens se retrouvent un jour dans des postes qui sonnent bien, mais sans vraiment savoir grand-chose. Quand ils s’en rendent compte, ils sont débordés et s’épuisent, quand ils ne s’en rendent pas compte, ce sont précisément ces fuyards de compétences qui se pavanent aujourd’hui dans des « postes importants ».

Et la génération d’enfants de ces parents est vraiment dans le pétrin.

Qui décore sa maison aujourd’hui avec des gadgets juste parce que « on a ça »... eh bien, c’est déjà un peu axé consommation. La préservation de la valeur, svp...

La facilité est un bien meilleur argument et plus compréhensible.
 

Thierse

13.04.2019 16:33:52
  • #6


Une constatation importante ! C’est ainsi. On devait travailler dur autrefois. Mais il y avait aussi des postes calmes à la poste, à la gare ou à l’administration. Et moins de contrats à durée déterminée et d’apprentissage tout au long de la vie comme aujourd’hui....

Sur le thème du logement en général : pour beaucoup de personnes, de grands espaces et des jardins sont un fardeau. Beaucoup ne s’en rendent compte qu’avec le temps et en vieillissant. Aujourd’hui, la vie professionnelle est très exigeante, tout le monde n’a pas envie de s’occuper de la maison le week-end.
 
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