kaho674
10.03.2020 08:39:24
- #1
Et pour le coin lecture, où il y a aussi eu des commentaires différents : je me l’imagine aussi confortable.
C’est un phénomène étrange que les gens pensent que c’est particulièrement cosy à côté de l’escalier au premier étage. Je ne peux pas le confirmer. Nous avons plusieurs propriétés dans la famille et presque partout il y a quelque part un endroit à côté de l’escalier. Il n’a jamais, nulle part, jamais été utilisé comme coin lecture ou autre « coin » confortable, demandé ou même envisagé. L’utilisation se limite au vestiaire, lieu de rangement, bibliothèques (sans que l’on ait envie de s’y asseoir), lieu de culture pour plantes ou simplement comme couloir. Bien sûr, on peut essayer d’aménager ça très joliment, mais je crois que ça change peu de chose. Qui aime bien s’asseoir dans le couloir devant la salle de bains ? Il faudrait vraiment que la Playstation soit là, mais pour ça il faut aussi plus de place, non ?
Aussi pour jouer pour les enfants (pourquoi devraient-ils être gênants ? Je n’ai pas tout compris là-dessus ).
Les enfants s’installent très vite devant la porte de la salle de bains, où ils doivent ensuite tout ranger parce qu’ils gênent papa qui ne peut plus aller aux toilettes. Le matin, tout le monde trébuche alors sur les blocs de construction oubliés en titubant endormi vers la salle de bains. Ça devient très vite très peu attrayant pour les enfants et ils préfèrent aller dans leurs chambres où ils désirent alors plus d’espace – mais trop tard.
Et je trouve justement ça super important, même dans les petites maisons : ne pas encombrer chaque cm² avec des meubles de rangement pratiques, mais laisser un peu d’air et de lumière. Pour ça je renonce volontiers à des babioles.
Là, je dirais : n’importe quoi.
Je trouve révélateur que tu dises que tu renonces volontiers aux babioles, mais que tu prévoies une machine à coudre pour toi. Tes enfants doivent se débrouiller avec 12 m² pour que tu aies « de l’air et de la lumière ».
Oui, moi aussi je renonce volontiers au bazar de mon mari quand il manque de la place.