J'ai lu toutes les réponses exactement et plusieurs fois.
Cela peut être le cas. Pour être honnête, j’ai trouvé qu’à partir de la page 5 environ, les réponses étaient déjà extrêmement utiles et rendaient les 10 pages restantes obsolètes. Cela me fait donc fortement douter que tu les aies vraiment comprises.
Peut-être que je devrais vraiment demander de l’aide professionnelle, peut-être que c’est vraiment une dépression qui est maintenant encore plus forte à cause de la décision. Pourtant, je n’ai pas vraiment de symptômes typiques.
Tu as reçu ce conseil de nombreuses personnes, y compris de moi, déjà dans le message #27.
La somme me paralyse vraiment. Aujourd'hui, j'ai encore parlé avec ma femme, elle ne peut pas comprendre ma façon de penser.
Je suis aussi dans l’équipe #TeamTaFemme.
Peut-être que c’est aussi parce que d’autres choses me pèsent indirectement (le désir d’avoir des enfants ne se réalise pas depuis des années, etc.)
D’une part, c’est certainement difficile lorsqu’on ne voit pas ses souhaits se réaliser comme prévu. D’autre part, il y a des familles qui n’ont pas d’enfants ou ne peuvent pas en avoir.
Nous nous disons aussi qu’au plus tard avec le prochain enfant, l’appartement sera de toute façon trop petit, alors on déménagera ailleurs, plus grand, et le loyer sera alors au moins de 1 500 à 1 700 € charges comprises.
Et même s’il n’y a qu’un seul enfant, vous ne penserez sûrement pas : « Oh mon Dieu, il y a tellement trop d’espace ici ! »
Peut-être que les raisons se trouvent ailleurs.
Où donc encore ?
Actuellement, tout est juste devenu pire. Je me sentirais mieux demain si j’appelais le notaire pour demander comment annuler la transaction, mais rationnellement, c’est complètement absurde.
Je pense que ce point te plongerait dans un grand trou dans un avenir proche. Je voudrais résumer la situation de manière provocante :
Un mari avec une femme qui l’aime et un enfant en bonne santé achète une maison dans un quartier souhaité, qu’il peut se permettre, et qu’il pourrait vendre plus tôt ou plus tard à un prix plus élevé. Au lieu de se réjouir de son bonheur sur plusieurs plans, il souhaite retrouver son ancien appartement (trop) petit, dont le loyer est à peine inférieur aux remboursements de la maison. Une des raisons de cette crise existentielle est aussi une mauvaise fenêtre de salle de bain.
Vu de manière rationnelle, cela ressemble un peu à de la satire réaliste. À la place de cet homme, je m’empresserais de veiller à ne pas trop alourdir ma relation/mariage/famille avec ces pensées absurdes.