Uiuiuiuiuiui, auauauauau. Il faut absolument un conseil d’avocat (spécialisé) : il existe un contrat de construction valide - toutefois concernant une maison qui, telle qu’offerte, ne bénéficiera pas de la subvention KfW à cause de la hauteur insuffisante de la pièce dans l’appartement annexe (même l’approbation ne sert plus à rien si la base convenue n’est pas créée). Le conseiller, qui apparemment agit indépendamment de son devoir de diligence, est incompétent, et les maîtres d’ouvrage ont appris qu’un dégagement de responsabilité est une arme à double tranchant. Car on peut bien construire ainsi, mais on ne pourra pas habiter l’appartement annexe. Là, les frais pour une procédure d’autorisation correcte auraient déjà été rentabilisés. Il existe un potentiel d’économie en supprimant le garage - si celui-ci était commandé séparément et n’est pas encore commandé de manière contraignante. S’il faisait partie du contrat de construction comme le supposent les plans, sa suppression constituerait une résiliation partielle et rendrait caduque le prix convenu. Compte tenu de l’ampleur du projet - qui en réalité ne diminue pas parce que la perception des maîtres d’ouvrage est plus modeste - je suis choqué de voir à quel point ce projet a été abordé sans expérience dans toutes ses dimensions. On s’informe mieux en achetant une télévision :-(
Ceterum censeo, le conseiller en énergie et le conseiller en financement devraient se marier, ils semblent parfaitement aller ensemble *ROTFL*
Concernant les questions de compréhension et d’autres « d’un seul coup », afin de ne pas s’éparpiller en citations fragmentaires :
1. Le contrat a été conclu par acceptation de l’offre ; les maîtres d’ouvrage ont exprimé l’acceptation sur l’offre.
2. S’il n’y avait aucun accord complémentaire à l’intérieur, a) concernant d’autres détails (et lesquels) à discuter et surtout b) concernant les délais d’exécution à appliquer, ce sont probablement des manquements irréparables :-(
3. Une limitation dans le temps d’une garantie de prix ne signifie pas que le contrat serait résilié à l’expiration de cette garantie.
4. « Sous réserve » (freibleibend) ne peut logiquement être qu’une offre jusqu’à son acceptation.
5. Sans autres accords, une garantie de prix est totalement nulle après son expiration, sa prorogation comme base pour limiter des hausses aurait dû être convenue.
Comment on peut être aussi négligent pour commander « 1 structure brute agrandie selon plan » seulement par écrit mais autrement aussi désinvolte qu’une pizza, cela est devenu ici un cas d’école expliquant pourquoi on ne peut jamais assez apprécier la valeur d’un appel d’offres sérieux. Rien dans la construction de maisons individuelles ne recèle plus de potentiel d’économie que d’éviter de telles commandes de maison « chèque en blanc ». Sans description des prestations de construction ni accord sur le délai d’exécution (avec pénalités !!!) un contrat de construction générale ne vaut rien !