Vanben
10.03.2016 11:04:52
- #1
Ce n’est pas correct. Les deux abattements sont toujours pris en compte sur le revenu total.
Je n’ai jamais affirmé le contraire.
Dans ton exemple, le deuxième revenu paierait environ 45 % d’impôts, peu importe son montant.
Il s’agit toujours d’une réduction du revenu imposable (que ce soit par des abattements ou des coûts concrets) de la somme « coupée en haut ». Le taux marginal d’imposition est décisif ici.
Si pour les couples, un taux d’imposition de 45 % est dû à partir d’un revenu annuel imposable de 120 000 euros, cela signifie que pour un revenu imposable de 130 000 euros, la différence de 10 000 serait imposée à 45 %.
Si dans un couple, le revenu d’un partenaire s’élève déjà à 120 000 euros, le taux d’imposition élevé de 45 % est (calculé) immédiatement appliqué sur un deuxième revenu, car chaque euro supplémentaire gagné fait dépasser le revenu total imposable au-dessus du seuil de 120 000.
C’est bien sûr un exemple extrême, mais cela fonctionne fondamentalement de la même manière avec des revenus plus faibles et des taux marginaux (d’imposition).
Il est donc effectivement vrai que dans ce cas, un deuxième revenu — indépendamment de son montant — serait calculé à partir du premier euro avec un impôt de 45 %.
Les classes de déclaration fiscale n’ont également aucun rôle dans l’examen annuel.
Encore une fois la question : où as-tu lu que je pensais autrement ?! Il s’agit toujours du fait décrit ici de la charge due au taux marginal d’imposition. Cette circonstance devient tangible par l’observation de différentes classes de déclaration fiscale (III/V).