Saruss
12.02.2016 14:33:59
- #1
: les 3 % ne sont toutefois pas corrects à long terme (hey, et avec ces sommes on réussit aussi à avoir plus de 1 % d’intérêts). Selon l’Office statistique fédéral, de 2000 à 2014, la moyenne pour les constructions neuves ! est au total un peu en dessous de 1,5 % (dans les « anciens » Länder fédéraux, dans les nouveaux, l’augmentation des coûts est encore moindre !). On pourrait aussi comparer les différentes valeurs des bâtiments en 2036 (20 ans et 350 k lourds contre 10 ans pour 470 k, c’est une différence de valeur de revente !). Mais le résultat ne montre que ce que j’écris tout le temps ; mais probablement pas assez clairement (?).
Je pense que tu comprends mal ici le grand ensemble. Je n’ai effectivement pas financé la voiture, mais toujours la maison. Finalement, bien sûr, une dette reste une dette, mais si je finance une voiture, c’est peut-être plus cher (intérêts, surtout si je veux vraiment financer à 100 %) que la maison. Sinon je pourrais argumenter que je prends chaque jour des repas « financés », parce que je dois encore de l’argent à la banque pour la maison. Et j’écris aussi seulement sur du papier financé. Et mon PC encore plus ! (à part cela, j’ai déjà fait le remboursement anticipé maximal pour la maison, il n’y a donc rien qui traîne inutilement). D’une certaine façon il est clair qu’un remboursement plus élevé économise des intérêts composés, mais ça concerne à la fois les épargnants en capital propre et les non-épargnants et ne correspond donc pas au sujet. Si on compare, alors avec les mêmes conditions et la même « méthode » ou dépenses. Sinon, les coûts pour épargner ne sont pas si élevés, selon le calcul, et dans les deux cas on ne parle pas d’argent que l’on a, mais (en cas de non-vente de la maison) de qui a au final moins/pas de dettes au bout de 30 ans. Mais il n’a pas non plus l’argent pour une voiture ou ses enfants ou quoi que ce soit 20 ans plus tôt. Mais les années entre les deux sont importantes – en particulier comme dit les premières années – si on finance sans capital propre, les 15 premières années sont certainement plus difficiles, plus risquées, car on n’a pas de réserve.
Je pense qu’il faudrait d’abord déterminer les paramètres pour le calcul (c’est-à-dire lesquels, pas leur valeur) et créer un tableau, et chacun pourra alors décider lui-même combien de risque il veut prendre, ou quand quelle variante est meilleure pour lui.
Personne ne critique les hypothèses. C’est la « nature » d’une hypothèse que d’être estimée, et personne ne sait comment ça va évoluer ; de même, elles peuvent être différentes individuellement. Sinon ce seraient des faits/réalités. On ne peut donc pas calculer une « formule » universelle pour le meilleur taux de capital propre, même pas uniquement en termes monétaires. On ne peut qu’estimer avec des hypothèses aussi concrètes que possible pour sa propre situation actuelle s’il vaut mieux épargner ou non – et pondérer la différence financière avec les risques et les avantages/inconvénients. Nous devrions concevoir un tableau avec l’entrée des hypothèses et l’affichage des différences à la fin, ainsi chacun qui souhaite savoir peut saisir sa situation.J’ai donc essayé de m’en rapprocher, en comparant à titre d’exemple certaines hypothèses entre elles. Il est bien sûr facile de critiquer ces hypothèses, mais il faudrait alors être concret, pour qu’on puisse faire le calcul.
Je pense que tu me comprends mal. Quand je parle dans ce contexte de dépenses, je ne parle pas du capital propre en tant que tel, mais des coûts autour de son épargne (voir ci-dessus). Et ceux-ci te manquent (et manquent à tout non-millionnaire) et c’est à cela que je faisais référence quand je disais que sur la longue liste des « sécurités » (tu peux aussi dire « coûts indispensables à la vie dans le futur »), certaines choses sont beaucoup plus importantes/probables (par ex. l’acquisition d’une nouvelle voiture).
Je l’ai déjà lu ici sur le forum dans un autre contexte. Tu AS financé la voiture, puisque tu dois encore de l’argent à la banque pour la maison. C’est un problème auquel tout propriétaire est confronté ; tout l’argent dépensé pendant la période de remboursement est grevé d’intérêts et plus il « traîne », plus c’est cher.
Je pense que tu comprends mal ici le grand ensemble. Je n’ai effectivement pas financé la voiture, mais toujours la maison. Finalement, bien sûr, une dette reste une dette, mais si je finance une voiture, c’est peut-être plus cher (intérêts, surtout si je veux vraiment financer à 100 %) que la maison. Sinon je pourrais argumenter que je prends chaque jour des repas « financés », parce que je dois encore de l’argent à la banque pour la maison. Et j’écris aussi seulement sur du papier financé. Et mon PC encore plus ! (à part cela, j’ai déjà fait le remboursement anticipé maximal pour la maison, il n’y a donc rien qui traîne inutilement). D’une certaine façon il est clair qu’un remboursement plus élevé économise des intérêts composés, mais ça concerne à la fois les épargnants en capital propre et les non-épargnants et ne correspond donc pas au sujet. Si on compare, alors avec les mêmes conditions et la même « méthode » ou dépenses. Sinon, les coûts pour épargner ne sont pas si élevés, selon le calcul, et dans les deux cas on ne parle pas d’argent que l’on a, mais (en cas de non-vente de la maison) de qui a au final moins/pas de dettes au bout de 30 ans. Mais il n’a pas non plus l’argent pour une voiture ou ses enfants ou quoi que ce soit 20 ans plus tôt. Mais les années entre les deux sont importantes – en particulier comme dit les premières années – si on finance sans capital propre, les 15 premières années sont certainement plus difficiles, plus risquées, car on n’a pas de réserve.
Cet « optimal » dépend malheureusement beaucoup d’un cas à l’autre. Le plus souvent, ici sur le forum, quand un utilisateur pose une question, les participants qui répondent prennent en compte les informations du demandeur dans leur analyse, de sorte qu’on ne peut pas vraiment parler de « dogme ». Sinon, je pense que l’on est d’accord sur le sens de « au minimum les frais annexes » (ce qui fait vite plus de 40 k en fonction du terrain désiré) + x %, et c’est cela qui est discuté.Les exemples devraient cependant présenter dans leur structuration un cas plausible, à partir duquel on peut faire des réflexions sur le financement « optimal » en rapport avec le capital propre. Mon intention était avant tout de remettre en question le dogme « Il te faut X % de capital propre ».
Je pense qu’il faudrait d’abord déterminer les paramètres pour le calcul (c’est-à-dire lesquels, pas leur valeur) et créer un tableau, et chacun pourra alors décider lui-même combien de risque il veut prendre, ou quand quelle variante est meilleure pour lui.