: Désolé, je ne voulais pas non plus te mettre trop en lumière. Ton exemple est simplement intéressant en principe, car il y a beaucoup de fonds propres en chiffres absolus... et bien sûr parce que tu te distingues ici dans le forum en tant que fervent défenseur de fortes quotas de fonds propres.
Bref sur tes réponses :
- Faisabilité du financement --> Dans certains cas certainement nécessaire, mais cela ne conduit pas à une recommandation générale pour "tout le monde"
- Autodiscipline --> Je la présume, elle est imposée par les prélèvements. C'est agréable si on n'est pas pris au dépourvu, mais pas plus
- Valeur de nantissement --> Justement sur ce point j'ai beaucoup écrit ici. 110 % est généralement cher par rapport au temps d'attente économisé, en dessous de 100 % cela apporte peu, voire est contre-productif, si il faut pour cela d'abord économiser spécialement.
- meilleure Ausstattung --> Dépenser plus d'argent, c'est toujours possible, c'est en principe la même chose que la "faisabilité"
Je n'ai classé le livre pour l'instant qu'en raison du titre, il y a beaucoup de ce genre d’ouvrages. Savoir si la maison individuelle équivaut réellement à la constitution de patrimoine, dans le sens que les auteurs de tels livres comprennent, est un débat en soi.
Dans quelle mesure peux-tu être d'accord avec Steffen ? Vous avez tous deux économisé longtemps et avez maintenant une forte quote de fonds propres – cela me réjouit pour vous, sincèrement ! Mais ce n’est pas parce que vous l’avez fait ainsi (par hasard ou exprès) que cela constitue une recommandation pour des tiers. Pour cela, il faut des arguments objectivement vérifiables.
- Payer moins cher la maison grâce à des taux d’intérêt plus bas ? Cela ne fonctionne pas à cause de la hausse des prix de la construction associée à de mauvais intérêts sur l’épargne (nous parlons toujours de la situation actuelle, n’est-ce pas ?)
- "Mieux dormir" ? Rétrospectivement, il est facile de se raconter des histoires agréables (je ne le dis pas méchamment !), ce que l’on ne connaît pas, on ne le regrette pas non plus. Mais encore : ce n’est pas parce que cela s’est passé ainsi pour toi et que tu ne le regrettes pas après coup que cela constitue une recommandation pour les autres. Hans Müller est peut-être actuellement très malheureux dans son appartement loué délabré avec des voisins bruyants et regrettera plus tard de ne pas avoir plutôt construit...
Quel a été / est l’effet (voulu) précis qui profiterait aussi aux autres ?