Nous avons également une pompe à chaleur géothermique avec collecteur de surface (7 circuits de 80 m chacun).
Planifiée et réalisée par nous-mêmes. Nous l'avons simplement installée en deux soirées, pendant que la pelleteuse était déjà sur place. Ce n’est pas sorcier, bien au contraire.
Il faut juste suffisamment d’espace dans le jardin. Nous avons eu besoin d’environ 350 m².
Le plus compliqué a été le puits pour le répartiteur. Nous l’avons maçonné massivement et prévu assez grand (2 x 1,5 m), car nous savions que ce serait très minutieux de connecter les 14 extrémités du fluide caloporteur au répartiteur. Les tuyaux en PE sont en effet très difficiles à manier.
Coûts : Comme tout a été fait en propre (le frère de ma partenaire a été formé chez un installateur sanitaire/chauffage) et avec la subvention BAFA, la pompe à chaleur géothermique nous a coûté seulement un peu plus cher qu’une pompe à chaleur air-eau (environ 2000 €).
Le coefficient de performance annuel est pour l’instant de 4,7 (compteur de chaleur installé, selon la pompe à chaleur géothermique, le coefficient de performance annuel est nettement supérieur à 5).
Nous étions très curieux de voir si, au cours du premier hiver, on pouvait « voir » dans le jardin où étaient situés les collecteurs de surface. On entend souvent dire que la neige fond plus tard à cet endroit, etc. => Du moins ce n’était pas le cas chez nous. Et cette année, nous avons eu beaucoup de neige pour observer cela.
Deux couples d’amis passent eux aussi leur premier hiver dans leur nouvelle maison, avec une pompe à chaleur air-eau. Pour les deux, l’élément chauffant électrique s’est déjà souvent mis en marche toute la journée cet hiver, car les températures sont restées autour de -10 degrés pendant une longue période en journée (plus froid la nuit).