Financer un projet de construction - Assez de capitaux propres ?

  • Erstellt am 20.03.2021 14:26:42

pagoni2020

12.04.2021 16:41:10
  • #1

Je comprends, mais il me manque souvent actuellement une idée de comment cela pourrait se passer "autrement", car à mon avis, comme souvent, on exagère simplement dans l’autre sens. Et.......je ne suis en aucun cas un partisan de la méthode brutale.

Pour moi aussi, il était difficile d’être cohérent ou "ressenti" comme dur. En préparation à la vie, je pense qu’il faudrait que cela soit plus souvent le cas, pas dur comme John Wayne mais clair et cohérent. Je me demande souvent aujourd’hui CE QUI, par rapport à l’objectif fixé, est vraiment pédagogique.

Je comprends cela absolument pour cette situation, j’ai donc dû mal comprendre. Mes étranges expériences datent également d’avant la période du Corona. Je vois à travers l’école de ma femme que l’institution y est plutôt instable. Les collègues individuels sont souvent prêts et actifs, mais le système freine et ses vassaux aussi.

Entièrement d’accord de mon côté. J’avais déjà mentionné Jesper Juul, dont les livres ou la philosophie devraient selon moi être plus appliqués. Je me rappelle d’un pédagogue pour enfants connu, qui disait avec exagération dans une interview qu’il avait eu une merveilleuse enfance parce que ses parents avaient à peine de temps.
Je peux parfaitement m’imaginer cette expérience au terrain de jeu :D :D :D et qu’on se trouve d’abord trop dur soi-même. Mais tu décris exactement ce que je veux peut-être un peu exagérément illustrer. J’ai souvent "travaillé" avec des enfants ou plutôt des adolescents et connais donc certains résultats d’une éducation sans ces expériences d’apprentissage. C’est exactement ce qui m’a beaucoup frappé en tant qu’enseignant par hasard. Nous avions des enfants de bonnes familles qui ne savaient pas faire leurs lacets en 6e classe ou qui étaient complètement dépassés par des tâches manuelles simples, raison pour laquelle ils rebellaient. Cela m’a paru choquant et triste à la fois.

J’ai vécu une éducation de la génération de guerre et je m’étonne encore aujourd’hui de la manière dont mes parents, avec leurs terribles expériences, ont pu me transmettre une attitude de vie aussi positive. Il n’y avait pas de coups ni rien de semblable comme chez certains autres, plutôt une bonne "tape" occasionnelle du dentiste scolaire ou une "poussée" du curé ; raconter à la maison n’avait pas beaucoup de sens à cause de la peur d’eux. Un mélange plus "sain" me conviendrait aujourd’hui... mais qui me demande :D :D :D L’important est : aujourd’hui, j’ai une merveilleuse relation avec mes fils déjà adultes et ils valideraient cette attitude, la tienne aussi !
 

chand1986

12.04.2021 19:59:21
  • #2

**C'est l'OBLIGATION des parents d'inculquer aux enfants autant que possible les fameuses vertus secondaires, afin que les enseignants aient aussi le temps de s'occuper des matières spécialisées et ne doivent pas en plus compenser les lacunes des foyers familiaux.**
Cela ne doit pas forcément passer par la pratique de la calligraphie, mais cela doit être fait.

Fun fact. Pour l'association, je rédige des informations pour les parents titulaires de l'obligation éducative.
Cela a déjà causé des problèmes.
 

Evolith

13.04.2021 13:11:31
  • #3


Je peux tout à fait approuver cela.
J’ai un beau-fils. Ce gamin de 19 ans a manqué l’année dernière de postuler à temps pour une formation spécifique. Mon mari pestait. Je lui ai demandé pourquoi il ne s’était pas assis auparavant avec son fils. Certains adolescents ont besoin d’un petit coup de pouce ou ne savent simplement pas par où commencer. Maintenant, un an plus tard, nous n’avançons toujours pas et ni la mère ni le père ne semblent disposés à s’asseoir calmement avec l’enfant pour discuter de la situation.
Je l’ai donc convoqué chez nous (il m’écoute encore assez bien) et vais examiner ses plans d’avenir et ses dossiers de candidature. Mais aucun des parents n’a le courage de discuter sérieusement avec le jeune adulte.
Et c’est précisément ce que je remarque chez beaucoup de parents – déjà avec les tout petits.
Je dis souvent à mon garçon : Je suis ta maman, pas ton amie. Ensuite, nous éduquons ainsi et, je crois, nous avons assez bien réussi. J’espère que la maîtresse voit ça aussi à l’école :D
 

chand1986

13.04.2021 14:35:24
  • #4
La phrase « Der ist alt genug und MUSS sich (gefälligst) selbst drum kümmern » tombe dans certaines familles à l'âge de 12 ans, lorsque l'on rappelle en tant qu'enseignant que les matériaux scolaires ne sont jamais réunis à l'école. Ces enfants sont en général porteurs de velcro et ne savent pas lire l'heure sur une montre analogique (qui est alors écartée comme exemple visuel dans la fraction). Ils DOIVENT s'en occuper eux-mêmes... j'en ai marre.
Sorry
 

Evolith

14.04.2021 06:57:06
  • #5


Je peux comprendre cela. Il faut amener ses enfants petit à petit à l’autonomie. Mais certains chouchoutent presque jusqu’à la puberté, se rendent compte ensuite qu’ils ne peuvent plus rien faire et que leur progéniture devient de plus en plus ingrate, et soudainement l’enfant est assez grand pour gérer ses affaires tout seul.
 

chand1986

14.04.2021 07:04:11
  • #6

C'est l'autre côté de la médaille, où des parents "engagés" font n'importe quoi et où d'autres doivent en payer les conséquences (en premier lieu leur propre descendance).
Malheureusement, je connais ceux qui s'occupent peu en dehors du maintien en vie et qui argumentent ensuite : Ils doivent bien être capables de faire ça maintenant !?
 
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