Katastrophy
01.10.2018 14:03:59
- #1
Certains ne peuvent s'offrir la maison que parce qu'ils doivent opter pour des durées courtes de taux d'intérêt, sinon ce n'est pas payable. Pour moi, c'est du jeu, surtout quand des augmentations des dépenses sont prévisibles.
Tu suis quand même, non ?
Nous n'avons pas à opter pour une courte durée de taux d'intérêt. Nous réussirions « easy » les 20 ans, voire 25 si tout se passe bien.
Les augmentations des dépenses ne sont pas prévisibles mais théoriquement possibles, bien que nous pourrions y faire face jusqu'à un certain point grâce à des économies faites à d'autres endroits. Et soyons honnêtes ? Pour qui les augmentations des dépenses dans cette définition que tu donnes ne sont-elles pas « prévisibles » ?
Honnêtement, je commence vraiment à avoir l'impression qu'on attend de moi que j'aie des enfants demain juste parce que j'ai des ovaires. Je me demande vraiment comment j'ai réussi à rester sans enfants ces 10 dernières années. Cela semble presque impossible.
Est-ce que chacun doit forcément avoir des enfants dans les 2 ans qui viennent quand il pense à construire une maison ? Bien sûr, souvent c’est le cas. Mais il peut bien y avoir des exceptions. Est-ce si absurde de vouloir aborder le sujet des enfants seulement quand on a réalisé quelque chose professionnellement dans sa vie et qu’on a un salaire suffisant dans le foyer pour que l'idée d’avoir des enfants « en vaille la peine » ? (« En vaille la peine » au sens : Peut-on alors offrir quelque chose aux enfants quand ils seront là, ou est-ce même inutile d’y penser parce qu’on ne le peut pas de toute façon)
Ma femme et moi avons une grande différence de revenus. Si je ne travaille plus, il n’y a plus de maison. C’est aussi simple que ça.
Et pour ça elle doit aussi dire chaque jour bien gentiment et poliment « merci, merci », non ?