kati1337
04.06.2023 15:07:17
- #1
C'est une minorité dans les écoles, mais une présence constante dans toutes les régions urbaines.
C'est un phénomène constant, pas une exception.
Mais c’est justement pour cela qu’on parle de « régions urbaines ». Tout y est concentré, y compris les cas extrêmes vers le haut ou vers le bas. Bien que ceux qui sont en bas attirent beaucoup plus l’attention. Quand j’ai commencé l’école il y a plus de 30 ans, nous avions déjà plus de 20 enfants par classe (même si pas 30), dans un petit village. Et chez nous, il y avait aussi 2 à 3 enfants par classe qui ne pouvaient pas suivre le niveau, certains redoublaient.
Dans les villages, cela ne s’accumule pas ainsi. Chez nous, autrefois, on connaissait certaines maisons / familles sur lesquelles on dédaignait. À Berlin, on connaît à ce sujet des quartiers entiers. Dans les écoles des arrondissements, les taux d’abandon / d’analphabètes sont naturellement beaucoup plus élevés. En contrepartie, il y a sans doute d’autres arrondissements avec un niveau d’éducation correspondant élevé, où il y a alors un nombre sous-moyen d’analphabètes dans les classes.