Apparemment, l'administration se réfère à la norme DIN 18920. Un certain Monsieur Brudi a eu la gentillesse de résumer quelques points clés de celle-ci. Cependant, disponible uniquement en PDF.
Les exigences pendant la phase de construction ne sont pas une mince affaire. Dans la zone des racines, il est permis de creuser uniquement à la main. La distance de 1,5 m dans la zone des racines est claire. Mais qu'en est-il à l'étage supérieur ? Peut-on construire un porte-à-faux jusqu'à la couronne ? Après tout, 30 % de la zone des racines peuvent être occupés par des chemins.
La question demeure de savoir si tout cela en vaut la peine. Mais le TE est fermement décidé. Je n'ai encore vu aucun terrain où l'article § 4 g) de l'ordonnance de protection des arbres s'applique mieux que ici. L'arbre a un effet expropriant et empêche l'utilisation dans une mesure raisonnable. Le propriétaire précédent a-t-il déjà intenté une action en justice sans succès ?
En tant qu’amoureux de la nature, je suis également contre l'abattage du chêne. Mais alors, le terrain ne doit pas être désigné comme terrain constructible. L'utilisation selon le droit de la construction a été confirmée par le TE et il y a même une demande de certificat préalable positive (même si je ne comprends pas vraiment pour quoi). Donc, à mon avis, l'arbre devrait céder.