Ce qui n’est pas surprenant. S’il ne s’agit pas d’un grand amour des arbres, l’acheteur typique d’un tel terrain est plutôt celui qui doit faire attention à l’euro et qui est heureux de trouver ne serait-ce qu’un terrain. Mais ce n’est justement pas quelqu’un qui va ensuite faire construire là un palais d’architecte parfaitement adapté au centimètre (c’est-à-dire : qu’il peut se permettre de payer). Un cercle vicieux.
alors l'acheteur typique d’un tel terrain est plutôt celui qui doit faire attention au moindre euro et qui est content d’obtenir un terrain du tout.
Mais même à cette époque où chaque dessous de verre est demandé en tant que "terrain", un arbre comme ça n’est pas vraiment un "vice caché" que l’on ne verrait pas avec des lunettes roses.