Dans le plan d’urbanisme figurent de nombreuses choses réglementées, y compris dans la version textuelle. Toutes sont remarquables, mais les « points clés » pour les penseurs ici se trouvent cependant dans le dessin et là dans le gabarit d’utilisation :
Le coefficient d’occupation du sol (coefficient d’occupation du sol) est un nombre décimal qui permet, de manière simplifiée (!), de calculer la surface de la dalle, par exemple 635 m² multipliés par un coefficient d’occupation du sol de 0,2 donneraient 127 m² de surface au sol.
Le coefficient d’emprise au sol (coefficient d’emprise au sol) est construit de la même manière et indique la surface maximale (dans le langage courant) « habitable », simplifiée (!), c’est-à-dire sans le sous-sol, par exemple 635 m² multipliés par un coefficient d’emprise au sol de 0,3 donneraient 190 m² de surface de plancher, sachant que l’année d’entrée en vigueur du plan d’urbanisme est déterminante quant à la norme selon laquelle cette valeur doit être calculée.
Les deux coefficients ne tiennent absolument pas compte des méthodes de calcul que l’entreprise de construction utilise pour ses devis !
À part probablement un « o » pour « construction ouverte » (dans le langage courant Pi approximatif = maisons individuelles et jumelées ou courtes rangées de maisons), il y a probablement un « I » (chiffre romain un) = un seul étage complet autrement dit « un étage et demi » ou un « II » qui sans boucle signifie au maximum deux étages et avec boucle deux étages obligatoires ; ainsi que la forme du toit (SD / WD / PD / FD, etc.) et la pente du toit – ED dessiné dans un triangle ne concerne en revanche pas le toit, mais le type de construction individuelle ou jumelée.
Sinon, il y a encore dans le plan des lignes bleues (limites de construction – on peut s’y appuyer) et des lignes rouges (limites de bâtir – il faut s’y appuyer).
Cela clôt déjà en quelque sorte le chapitre « informations compréhensibles pour les non-spécialistes » – le « reste » nécessite des interprètes avancés – mais dans l’essence, on connaît déjà ainsi le cadre des possibilités.
Par ailleurs, les points ou lignes d’altitude sont encore importants : les non-spécialistes se trompent visuellement sans pitié en ce qui concerne la planéité des terrains.